Université d’été Transurfing 2022, bientôt le départ – Qui plonge encore ?

Bonjour à toutes et tous,

Cela fait longtemps que je n’ai pas publié d’article ici, fort occupée que je suis à la direction du Centre Transurfing Francophone, à mes séances de coaching individuel et avec les animations de groupe Transurfing que j’affectionne particulièrement.

Mais vous, comment allez-vous ? Dans quel état d’esprit êtes-vous ?
J’observe qu’après cette longue période Covid, durant laquelle énormément de personnes ont fait des prises de conscience majeures et émis des intentions de changement parfois radical, ils sont nombreux ceux qui pour autant, se sont laissés « reprendre » par la matrice, par leurs engagements, leurs loyautés, leur procrastination, par leurs importances… Et j’entends autour de moi beaucoup de fatigue voire de burn out, de découragement, de lassitude et encore plus d’inquiétude pour l’avenir de l’Humanité. Envolées pas mal de belles intentions, reportés à plus tard tous ces beaux projets et idées pour faire la différence, cette volonté d’un autre rythme, d’un contact plus étroit avec dame Nature. A nouveau, le ciel est sillonné d’avions, l’Homme s’est remis à courir, le temps à nous presser, le climat et la planète à se dégrader faute de prises de décision musclées. On rit (jaune) dans mon entourage de cette blague qui dit que Poutine a reçu le prix Nobel de médecine. N’est-ce pas son apparition sur la scène mondiale et cette nouvelle guerre qui a chassé le covid qui était à la Une ? Voilà un autre sujet de préoccupation, de désolation. Rester dans l’alignement et continuer à nourrir de bonnes vibrations, dans des contextes difficiles, n’est pas toujours chose aisée, cela nous demande d’y consacrer du temps, de l’énergie, et d’effectuer intentionnellement nos choix en conséquence.

Alors je ne vous écris pas pour vous démoraliser, loin de moi cette idée, moi qui ai cette immense chance d’être relativement libre dans l’organisation de mon temps, qui vit dans une région où le climat est agréable, qui jouit d’un joli jardin et surtout, surtout, moi, qui aime tellement mon « boulot » que je ne le considère même pas comme un travail, mais comme une activité qui, me nourrissant en profondeur, fait de ma vie « une célébration » selon les termes de Transurfing. Accompagner des individus, un à un ou par petits groupes, à se réveiller et à se dresser dans l’alignement vers une vie plus légère, plus fluide et joyeuse, plus facile, qu’ils/elles adorent et dans l’énergie de laquelle ils/elles sont véritablement pour eux-même et pour l’ensemble, source d’inspiration vers un monde meilleur, plus harmonieux, juste, équilibré – cela m’enchante !

Ce message est une invitation. Une invitation pour une, deux ou trois personne d’entre vous qui se reconnaitront peut-être et sentiront l’appel à rejoindre le groupe de l’université d’été Transurfing que je co-anime, pour un séjour exceptionnel et profondément transformateur. A ce jour, il reste quelques places. Les portes du Dojo de Saint-Christophe (dans le Tarn, à 1h30 au nord de Toulouse) ouvrent dimanche soir, la session démarre lundi matin le 1er août. Il reste quelques places à bord. Ce sera la 8ème édition de cette formation résidentielle intensive, une bombe !

Ce stage, unique et exceptionnel en son genre, n’a lieu actuellement qu’une fois par an. Il inclut le programme complet d’intégration et de pratique Transurfing (la session d’initiation et les 3 modules d’approfondissement) mais ce n’est pas tout, loin s’en faut!
Voici le lien vers le flyer avec toutes les informations :

>> http://www.centretransurfingfrancophone.org/universite-transurfing/

Envie de découvrir le Dojo de Saint-Christophe où nous séjournerons pour ce séjour bien-être ? voici le lien :

>> https://www.dojosaintchristophe.com/

La vie est danse ! Puisqu’il s’agit d’un séjour résidentiel immersif, nous disposons d’espace et de temps, et vous offrons à chaque édition selon une thématique particulière, la possibilité de participer à des ateliers transversaux, qui permettent de booster l’intégration du modèle Transurfing et de l’ancrer plus en profondeur, à différents niveaux de l’être. Pour la deuxième année consécutive, nous avons décidé de remettre les corps en mouvement (et la voix oui oui aussi :) et nous vous avons concocté un programme inédit et varié qui inclut des expériences dansées hors du commun. Le Dojo où se déroule les sessions, fait 180 m2, imaginez !

Je dis « nous », car cette année nous serons plusieurs coachs formateurs à votre disposition, pour guider et encadrer le groupe. Chacun-e d’entre nous ayant bien évidemment des compétences propres, permettant de recevoir la transmission de Transurfing selon différentes visions et le partage de pratiques individuelles, afin de mieux encore rencontrer les différentes personnalités et canaux d’apprentissage en présence.
Je vois l’université d’été Transurfing, en ce sens, comme un véritable « laboratoire quantique », un moment privilégié d’expérimentation et d’ouverture dans votre vie. Pour beaucoup de personnes avant vous, cela a été un véritable tournant.

L’invitation est lancée ! Dans cette vidéo, je vous en parle, avec la complicité de Pierre Heurtaux, hypnothérapeute, qui suite à sa participation à l’édition 2021, a choisi de se former pour devenir lui aussi, animateur Transurfing.

Contactez-moi sans plus attendre pour votre inscription de dernière minute ! Au plaisir de répondre à vos questions. Si vous pensez que cette proposition pourrait intéresser quelqu’un de votre entourage, merci aussi de la lui transmettre.

Merci aussi de m’avoir lue, quoi qu’il en soit, je vous souhaite un très bel été, de choyer la merveilleuse personne que vous êtes et de vous investir concrètement dans la réalisation de vos rêves les plus tendres… Rappelez-vous, toute évolution implique une  sortir de la fameuse zone de confort, osez faire ces pas en dehors !

Quant à moi, je vous retrouve ici dès la rentrée, pour des réflexions de fond. Même si je suis très contente dans mon actuelle réalité, j’ai hâte de pouvoir recommencer à vous écrire plus régulièrement. S’il y a des thématiques/questions que vous souhaitez me voir aborder sur ce blog merci de me les communiquer en commentaire.

Votre dévouée, bien estivale,

Tati Clara

NOUVEAU Transurfing Suisse du 1er au 3 juillet 2022

Formation Transurfing complète sur deux sessions : Nouveau cadre en Suisse à Loèche-les-Bains « Se ressourcer !

  • Initiation « Dirige ta vie », du 1er au 3 juillet 2022
  • Approdondissement « Libre et léger », « Comme dans un jeu », « Où tout est possible » résidentiel d’automne

Selon les principes de Transurfing, nous sommes chacun créateur-trice de notre réalité. Dans cette posture de responsabilité, on accède facilement au pouvoir de la changer, d’en choisir une autre.

« La réalité se passe en dehors de vous, jusqu’à ce que vous y croyez… »  Vadim Zeland

C’est aussi simple que ça ?

En principe, oui, mais encore faut-il y croire et le faire en toute conscience et liberté.
C’est la posture de l’Observateur. Or, une grande part de nos comportements, habitudes, valeurs,  croyances, réactions, est le fruit d’un conditionnement passé qui  nous empêche d’être vraiment soi et de se réaliser pleinement.

Les objectifs de la session d’initiation « Dirige ta vie », qui a pour but de vous clarifier les principes de Transurfing et de vous éveiller à votre pouvoir de diriger votre réalité, sont les suivants :

Expérimenter quels états d’être, quelles actions et quels comportements vous amèneront aux résultats souhaités et vous aideront à choisir une nouvelle vision du monde, votre nouveau mode de vie, avant d’aller plus loin dans la session d’approfondissement.

Cette session d’initiation en résidentiel sur deux nuitées vous invite à la pratique de Transurfing et s’adresse à vous si vous souhaitez:

  • Choisir ma réalité ok, mais qu’est-ce que je veux en définitive pour ma vie, que choisir… ?
  • Je me sens prisonnier d’une réalité que je n’aime pas, de situations qui reviennent sans cesse, de blocages ? Que faire ? Comment transformer ces schémas limitants qui pilotent ma réalité dans l’ombre de l’inconscient et “vivre” Transurfing ?
  • Comment mobiliser mes ressources, me sentir motivé-e, avoir plus d’énergie ? Comment manifester et obtenir de l’Univers qu’il me facilite les choses sur le chemin de mes buts ?
  • J’ai tout ce que je désire, à différents points de vue, pourtant je ne me sens pas en paix, pas vraiment heureux-se. Que faire ?

Le monde nouveau est bien en marche ! Comment allez-vous y participer ? Nombreux sont ceux qui, actuellement paniquent, dépriment. Ils pensent que rien ne va plus, que nous allons droit dans le mur et que les challenges et difficultés auxquels l’humanité est confrontée sont hors normes, sans solutions. Et moi dans tout cela dites-vous, comment je me sens, comment se sentir puissant et heureux dans sa réalité ?

Se responsabiliser chacun-e aujourd’hui face à une réalité collective changeante et oeuvrer à la co-transformer, chacun-e à notre manière et en cohérence avec les aspirations de son âme, passe par la réalisation et l’alignement de soi.

D’après Transurfing et selon les principes de la physique quantique dont s’inspire ce modèle comportemental de réalisation individuelle – best-seller écrit par le physicien quantique Vadim Zeland -, la réalité se conforme pour chacun selon ce qu’il y projette, consciemment ou non. C’est un des principes : « Le monde est mon miroir ».

L’urgence serait donc plutôt de mettre sur soi le focus et de commencer par transformer sa réalité individuelle intérieure et extérieure, en apprenant à la diriger consciemment vers des «lignes de vie » où sont déjà manifestes les aspirations spécifiques de l’âme unique de chacun-e.

Lorsque suffisamment d’individus vivront/vibreront dans l’harmonie, l’abondance et la joie, et qu’ils pourront s’exprimer pleinement dans le monde, celui-ci basculera vers une réalité collective en résonance. C’est physique, pas philosophique !

Passionnée de Transurfing, que je transmets depuis une douzaine d’années, je suis heureuse de vous rencontrer bientôt peut-être pour un stage expérientiel qui pourrait bien transformer votre vie, et de vous accompagner dans cette belle aventure, vous permettant d’expérimenter par la pratique les étonnants principes du fabuleux modèle quantique de réalisation individuelle de Vadim Zeland, l’auteur de Transurfing, et de vous relayer son message : Oui, vous avez du pouvoir sur votre réalité. Et pas qu’un peu !

>> Voici le lien vers l’agenda du Centre Transurfing Francophone

1er résidentiel du 1er au 3 juillet 2022 : Cette session d’initiation et de pratique est l’opportunité d’une expérience unique et transformatrice, que vous n’êtes pas prêt d’oublier !

2ème résidentiel : Pour ceux qui le souhaitent, c’est aussi la possibilité d’aller pour loin, en s’inscrivant au programme de l’Académie d’automne Transurfing, qui inclut les trois modules d’approfondissement. Ce stage se déroulera du dimanche 25 septembre au dimanche 2 octobre 2022, toujours en résidentiel à l’hôtel Grichting.

Cette nouvelle formule en Suisse, plus longue, offre le cadre idyllique pour un voyage de connexion à votre univers intérieur et à la magie de la pratique Transurfing. Nous avons l’habitude d’avertir les participants : Nous déclinons toute responsabilité quant aux transformations majeures pouvant se produire dans votre vie, suite à votre implication dans ce stage !

De plus, Le cadre Zen que nous avons choisi pour vous est dédié au bien-être, vous permettant de vous ressourcer et d’entrer en pleine conscience également grâce à la nature majestueuse du lieu. Au centre du village de Loèche-les-Bains. https://www.hotel-grichting.com vous accueille dans un village  situé au pied de la montagne.

LE DÉTAIL du programme de la Session d’Initiation – du 1 au 3 juillet 2022

Arrivé le vendredi 1er juillet à 17h00 pour prendre votre chambre

Accueil 18h30 dans la salle du séminaire

Repas du soir en groupe à 19h00

Introduction au Transurfing avec Claire de 20h00 à 22h00

Jour 2 de 9h00-19h00 (programme des cours)

Jour 3 de 9h00-18h00 (programme des cours)

Les petits-déjeuners sont à prendre entre 8h00-8h45

Une pause-café collation est prévue à 10h30

Repas de midi (13h00-13h45)

Pause entre 16h00-16h20

Repas du soir 19h30

La pension complète comprend le repas du vendredi 1 juillet et la collation du dimanche après-midi. (pas de repas le dimanche soir, sauf si vous choisissez d’en profiter pour prolonger un peu votre séjour à l’hôtel Grichting)

Stage Transurfing : 425.- CHF pour la formation et les supports de cours.

Procédure d’inscription : Après avoir échangé par mail avec clairevangheluwe@gmail.com et pris en option votre place dans ce groupe, vous êtes invités à confirmer votre participation en versant des arrhes (100.- CHF) sur le pot commun du Centre Transurfing Francophone. Le solde de 325 CHF est à payer en cash à votre arrivée. Lien pour le paiement https://www.lepotcommun.fr/pot/gnmji74k

Logement : 90.- CHF par nuitées chambre simple à 1 lit ( x 2 nuits ) soit 180.-CHF à payer à l’hôtel

Repas et collations : **65.- CHF jour pour la pension complète soit 130.-CHF (2 jours) est à payer à l’hôtel

Procédure de réservation pour le séjour en Pension Complète :

*Vous pouvez aussi réserver une chambre pour deux personnes avec lits non séparés l’un à côté de l’autre pour
le prix de 65.-CHF au lieu de 90.-CHF. Soit la chambre à 130.- CHF + les repas.

** La pension complète est obligatoire pour participer à la formation cela fait partie de la cohésion du groupe.

***Le voyage et les frais de transports sont à la charge des participants.

Vous pouvez déjà réserver votre place pour la formation à l’université d’automne 2022 en résidentiel et ainsi bénéficier d’un rabais sur la formation complète (-110.-CHF / cette possibilité est ouverte jusqu’à deux jours après la session d’initiation des 1er au 3 juillet. Les annulations sont remboursées si justifiées et communiquées par écrit au plus tard 30 jours avant le début de la formation moins 4% de frais de gestion dossier. En effet, ni le centre Transurfing ni l’hôtel ne peuvent prendre en compte les annulations tardives au regard des engagements vis à vis des participants et des organisateurs. En payant votre inscription, vous comprenez et acceptez ces conditions générales.

Le groupe se confirme dès que le nombre de 10 participants est atteint, parlez-en autour de vous !

Si la formation est annulée, la totalité des frais engagés par le participant sont entièrement remboursés sans dédommagement supplémentaire ni de la part du Centre Transurfing Francophone, ni de l’hôtel Grichting.

L’UNIVERSITE d’automne Transurfing, du dimanche 25 septembre au dimanche
2 octobre 2022 – Session d’approfondissement

Arrivée le 1er jour entre 13h00-13h45, début des cours à 14h00 (collation entre 16h00-16h30 et repas du soir 19h30 en groupe)

Jours 2, 3, 4, 5 , 6 et 7 : les cours commencent à 9h et se terminent à 19h00 (Pension complète) – La pause repas du midi permet un petit moment de repos ou de ballade digestive à l’extérieur.

Le 8ème jour, jour du départ, les cours finissent à 13h00 et nous clôturons avec le repas du midi ensemble. Ensuite vous êtes libérés.

Le nombre de nuitées est 7 en pension complète qui couvre la demi-journée d’arrivée (collation et repas du soir) et le dernier jour (le petit-déjeuner et le repas du midi).

Le programme de cette université d’automne, s’il n’est pas connu en détail d’avance, inclut une pause pédagogique à mi-parcours. Nous voulons offrir aux participants le temps de pouvoir profiter des lieux pour se ressourcer dans les espaces de bien-être, la nature alentour et les bains tout à côté de l’hôtel.

A bientôt la Suisse !

Créer sa réalité de demain : feeling good, d’instant en instant

C’est parti ! Voilà le printemps qui pointe son nez – ou tout du moins un délicieux apetizer de printemps

Parce que ce covid nous aura au final pas mal éprouvés tous, et vu le contexte géopolitique pour le moins préoccupant qui a pris la Une dans les médias et dont le mental, déjà fragilisé, s’empare, il nous paraît prioritaire de nous rappeler que d’un point de vue Transurfing, il est essentiel de trouver chacun les moyens, d’instant en instant :

  • De revenir à son corps

  • De faire en sorte qu’il se sente bien/mieux

  • D’évacuer/résoudre le stress qui le malmène

En bref, d’apprendre à  être plus heureux et vibrant, quoi qu’il arrive dans la réalité

Vadim Zeland, l’auteur de TRANSURFING, le dit en ces mots : « Lorsque le stress est venu jusque dans le corps, c’est par le corps qu’il faut le résoudre. »

Cet état de bien-être qui vient de l’intérieur, cela peut se faire de façon active via la méditation, la marche, un massage, une activité physique ou créative qui implique le corps physique et lui permet de bouger. Ce sont des pratiques qui sont efficaces et permettent un bel équilibre dynamique. Mais que faire les jours où on pas le temps ? Que faire pour ces journées où l’ampleur des tâches à accomplir ne le permet pas ? Que faire si on a pas le temps aujourd’hui ?

Notre réalité, c’est d’instant en instant que nous la créons, et non pas dimanche pour la semaine à venir ou pendant les vacances pour les semaines et mois qui suivent, n’est-ce pas ?

Quand on est fort occupé-e, il reste souvent trop peu d’espace pour maintenir l’Observateur en place. Ces heures/journées/périodes où nous le reléguons en arrière boutique, sont autant d’apnées pendant lesquelles on se ré-endort dans le rêve de la vie. Il n’y a pas, dans ces conditions, de possibilité de création consciente et délibérée de sa réalité – c’est l’esprit à repris les commandes, lui dont le fonctionnement est de se focaliser sur les préoccupations, les difficultés. Il évalue tout en termes de dangereux/pas dangereux. Il cherche à tout contrôler et tout prévoir, là où Transurfing nous apprend à aller dans le sens du courant de la vie et d’en saisir les nombreuses opportunités.

Attention, c’est là qu’apparait un vrai danger : laisser l’esprit (le mental/ego pour Transurfing) diriger, se perdre dans les couloirs du temps en se focusant sur tout ce qui n’a pas été, sur tout ce qui ne va pas, et à propos de ce qui pourrait arriver de fâcheux demain, est la meilleure façon de se créer un enfer !

Aussi, il est nécessaire de se rappeler régulièrement au bon souvenir de l’Observateur – d’autant plus que le contexte lui met la pression (si si, l’esprit d’une certaine façon « adore » la guerre, il s’en nourrit comme un chacal. Meme si cela procure de l’inconfort dans le corps, le polluant vibratoirement parlant, l’esprit tire sa sensation d’exister de chaque inquiétude, préoccupation ou contexte qui l’inquiète. S’inquiéter d’une certaine façon l’excite, le booste).

Voici quelques trucs pour se re-réveiller et reprendre la direction de sa réalité :

  • Activer sur son mobile une application du genre GONG qui, de façon aléatoire, va émettre un son et vous ramener à l’instant présent. Lâchez tout, profitez-en pour faire un petit retour à l’intérieur, une petite re-création : Comment je me sens – au niveau de l’esprit, de l’affect, et dans mon corps ? De quoi aurais-je besoin, là, tout de suite ?
  • De boire, par exemple ? Coller sur sa bouteille d’eau – vous savez, celle qui ne vous quitte pas, et sinon comment boire son L 1/2 ? – une étiquette avec l’intention du jour ou de la semaine.
  • Programmer un fond d’écran d’ordinateur qui s’affichera à chaque x qu’on y revient. Une croyance ressource, un mantra inspirant, une intention, ou ces 3 simples questions qui recentrent :
    • Qu’est-ce qui est ? (J’observe ma réalité intérieure et extérieure)
    • Qu’est-ce que je veux ? (Quelle est mon intention ?)
    • Qu’est-ce que je choisis ? (En terme de comportement, de réponse, d’action, …)
  • Placer dans son environnement direct quelque chose de nouveau ou d’inhabituel, ou y effectuer un changement (une photo/affiche au mur, des tulipes dans un vase, changer un ou des objets de place,…) pour vous rappeler que, même si vous êtes dans le même décor, vous pourriez bien avoir déjà changé de ligne de vie…
  • S’habiller différemment que d’habitude, en privilégiant éventuellement la couleur qui correspond au centre énergétique/chakra que vous choisissez de stimuler/équilibrer. Ce choix de l’habit que l’on porte ou de sa couleur, faites-le sans réfléchir, en vous laissant guider par votre ressenti. Les couleurs sont vibratoires aussi, elles peuvent vous portez ou tout le contraire.
  • Respirons ! Il suffit de 3 x 5 min par jour (matin/midi et soir) de cohérence cardiaque pour être stable émotionnellement. Dans l’état d’homéostasie dans lequel cette pratique vous met, aucun potentiel en excès ne vous exposera à la tyrannie de balanciers ni aux forces d’équilibrage de l’Univers.
  • Enfin, et ce n’est pas le moins efficaces, simplement, sourions :D

Bref, autant de petits rappels dans notre quotidien qui assurent et nous rappellent que – quoi qu’il arrive – se maintenir dans les godasses de l’Observateur et dans une qualité vibratoire propice à la création de réalités joyeuses et épanouissantes, se sentir bien dans l’instant, est ce qui importe vraiment !

Et vous, quels sont VOS TRUCS pour revenir à l’instant présent, pour activer en vous une belle rayonnance ? merci de vos partages en commentaire !

Je me rappelle que RIEN ne saurait être plus IMPORTANT, vibratoirement parlant, que de SE SENTIR BIEN, dans L’INSTANT. Alors déjà SOURIONS, faisons SOURIRE notre visage, le mental s’y trompe, et mettons-le au boulot de passer en revue les bonnes raisons de SOURIRE encore. Il y en a et il y en aura TOUJOURS, QUELLES QUE SOIENT LES CIRCONSTANCES !  LET’S FEEL GOOD

Belles créations printanières à vous !

Votre printanière et confiante, 

Tati Clara

PS : les groupes d’intégration et de pratique TRANSURFING ont bien repris. Des formations de base, à Paris et Bruxelles, mais aussi, pour le module expert CELEBRE TA VIE, en résidentiel. 4 jours de pratique intense pour transurfeurs avertis qui veulent aller plus loin : c’est au merveilleux DOMAINE DU TAILLE, en résidentiel, du 25 au 29 mai. Contactez-moi pour plus d’informations !

Quand ça bouchonne du côté des émotions : Transurfing, les potentiels en excès

Ah, les émotions...

Nos émotions surgissent, nous envahissent, nous emportent, nous bouleversent… c’est selon, mais très souvent nous surprennent, qu’elles soient agréables ou désagréables. Pour autant, les laissons nous vraiment se déployer, passer dans notre ciel en les laissant le traverser, sans jugements et en se donnant le droit de les exprimer ? Ce serait l’idéal, d’un point de vue vibratoire et relationnel, afin de ne pas créer de ces bouchons qui empêchent l’énergie de la vie de circuler en nous.

Voici le podcast vidéo de cet article, pour ceux et celles qui préféreront l’écouter.

Mais avant la question des émotions, une question. Que faites-vous cet été ? A ce jour il reste quelques places pour embarquer dans l’aventure Transurfing de la plus puissante façon qui soit : La 7eme université d’été Transurfing « Le monde d’après » sera une édition spéciale à plus d’un titre…. Renseignez-vous !

Stage "Le monde d'après", en détails :

Quand ça bouchonne du côté des émotions : Transurfing et les « potentiels en excès »

Nos différents systèmes intérieurs font en sorte qu’une mémoire est générée pour presque toutes les expériences que nous vivons. Si notre mental en est impacté, lui dont le fonctionnement essai/erreur et récompense/punition est le mode d’apprentissage premier, notre corps est celui qui stocke l’information d’un point de vue vibratoire. Plus les émotions agréables/désagréables sont intenses, mieux le mental va les retenir. C’est son rôle. Sa mission étant de nous permettre d’éviter un maximum d’expériences désagréables et de nous guider vers le plus d’expériences agréables possibles, il mémorise toutes ces situations qui lui serviront pour mettre son gps à jour et présider à nos décisions de direction, comme une carte mentale qu’il construit, affine et retrace au fur et à mesure du trajet.
Je dis que nous nous souvenons de presque tout, parce que certaines situations peuvent ne pas générer de mémoire, lorsqu’elle sont relativement neutre émotionnellement ou alors qu’elles sont plus intenses mais vécues de façon complète. Alors intégrées, digérées, elle peuvent ne pas laisser de trace. C’est là l’immense différence entre le trauma et le traumatisme, dans le cas de figure d’un événement désagréable.
Prenez la gazelle, par exemple. Elle manque de se faire bouffer par un lion, c’est un trauma. Si elle lui échappe par miracle, ho regardez ce qui se passe par la suite. Dès que le danger sera passé, son corps va se mettre naturellement à trembler de partout, le temps nécessaire à compléter l’événement, à l’intégrer. Après avoir tremblé le temps nécessaire à évacuer tout le stress qu’elle vient de subir, elle se remet à paitre paisiblement. La voyez-vous terrée dans le troupeau terrorisée à jamais, n’osant plus s’aventurer dans la savane ? Non. S’il y a eu trauma, il n’y a pas de traumatisme, la gazelle reste libre. C’est un mal, dit votre mental ? Détrompez-vous, c’est un bien !

Si le chat échaudé ne craignait que l’eau chaude, tout irait bien… mais l’Homme est ainsi fait que s’il a été ébouillanté, il finira, par excès de prudence mentale – c’est son rôle et il est zélé -, à craindre aussi l’eau froide… De ces expériences très intenses, positives tout autant que négatives (mais la mémoire est plus vive encore à propos des événements désagréables), il constitue sa carte et sa vision du monde, sur lequel il calque ses expériences en érigeant en vérités absolues, à tout propos, les croyances, positives ou négatives mais le plus souvent limitantes, qu’il en retire.

Mais nous nous sommes beaucoup éloignés de notre nature, de sorte que notre mental surdéveloppé prend le plus souvent le pas et empêche notre corps dans la résolution de ces tensions intérieures. Nous disons « je prends sur moi » et nous réussissons, à force de conditionnement, non seulement à ignorer les besoins impérieux de libérer le stress, chose nécessaire pour laquelle notre véhicule corporel nous envoie des signaux d’urgence dans l’instant, mais bien au-delà, nous en sommes arrivés à donner tort à ces mouvements intérieurs. Nous disons « je gère bien mon stress, mes émotions ». Mais en terme de gestion, ce que nous faisons en réalité c’est les museler, les enfuir au centre de nous, si possible pour toujours. Les empêchant de s’exprimer, nous nous faisons un tort bien plus important. Les émotions, dont la nature même est de circuler (émotion vient du latin e movere, qui veut dire « ébranler », « mettre en mouvement ») se figent et viennent s’agglutiner à notre « corps de souffrance », créant des bouchons dont il sera de plus en plus difficile de se débarrasser. De plus, le fait d’enfuir nos émotion au lieu de les exprimer, nous limite fortement dans notre capacité à les distinguer les unes des autres, compétence qui s’avère essentielle dans le développement de notre conscience et dans nos relations avec les autres. L’être humain est émotionnel, se priver de les exprimer et de les partager, c’est aussi entraver le bon développement de notre intelligence émotionnelle, et notamment dans notre capacité à distinguer et nommer les choses. La colère n’est pas la contrariété et pas non plus la frustration, la joie n’est pas le contentement ou la satisfaction… Il y a, sur ce chemin d’une plus libre expression de notre nature émotionnelle, beaucoup de nuances langagières à s’approprier afin de communiquer avec notre environnement de façon plus précise et de se faire comprendre les uns des autres. Imaginez un peintre qui ne saurait rien du mélange des couleurs…

Les émotions, si elles sont figées, agglutinées, n’en restent pas moins actives. On dit « c’est bon, j’ai géré, j’ai dépassé.. » mais l’émotion est bien là. Bâillonnée, elle cherchera un autre moyen de sortir. Sauf qu’au lieu de le faire dans l’instant ou peu après la situation qui nous a confrontée, elle surgira à contre courant, nous faisant bondir quand une nouvelle situation viendra, de près ou de loin, nous rappeler à son bon souvenir. L’eau, comme la vie, trouve toujours son chemin. Si vous bloquez l’eau et l’empêchez de passer par où elle le voudrait naturellement, vous la retrouverez surgir d’ailleurs. Et bonne chance alors pour déterminer et la cause, et le lieu originel de la fuite… Ainsi, une émotion retenue remontera à la surface, tôt ou tard, probablement de façon inadéquate, dans une situation et avec des personnes qui n’ont rien à voir avec le stress d’origine. Entraînant avec elle un autre petit paquet d’émotions retenues, il y de fortes chances pour qu’elle soit explosive, alors qu’à la base, s’il elle avait pu nous traverser, cela n’aurait pas été ni si douloureux, ni si impressionnant.

Je me rappelle de l’époque où j’étais jeune adulte, apparemment j’avais déjà engrammé pas mal d’émotions et j’étais de nature disons plutôt explosive. Un jour, j’ai tapé sur une de mes amies une colère du fond des âges. Je suis véritablement sortie de mes gonds. Quelque chose d’énorme a jailli du fond de mon ventre et très vite, je suis montée dans les tours. Il était évident que ce qui s’exprimait là n’avait plus rien à voir avec la situation présente et que l’ampleur de ma colère était sans commune mesure avec la contrariété du moment. Un monstre, je m’étais transformée en monstre. Mon amie a encaissé tout ça, terrorisée alors que je vociférais. Par la suite, elle s’est éloignée.. J’ai eu beau m’excuser maintes fois, lui demander pardon, rien n’y a fait. Je crois qu’elle est restée traumatisée de cette horrible scène et de toute l’agressivité et la colère que j’avais – injustement – déversées sur elle. Dommage.

Et les potentiels en excès alors?
Si les « potentiels en excès » de Transurfing, ne sont pas des bouchons émotionnels, ils participent de leur formation. Par définition, un potentiel en excès se crée uniquement si une trop grande signification (importance) se rajoute à l’évaluation d’une situation (l’esprit évalue sans cesse toute chose, en termes assez binaires de type bien/mal). En d’autres termes, dès que vous accordez trop d’importance à quelque chose, interne ou externe. Le potentiel en excès se manifeste par l’inquiétude, la peur, l’effort, la perte du calme, la perte de l’équilibre personnel, le renforcement du dialogue intérieur. Exemples : un désir trop fort, le mécontentement, le jugement, l’admiration, l’idéalisation, le mépris, la vanité, les sentiments de supériorité, de culpabilité ou d’infériorité.
Pour faire le lien avec les bouchons émotionnels – ne vous demandez pas si vous en avez ou non, très très rares sont les personnes qui ont intégré toutes leurs expériences – c’est bien en fonction de notre carte mentale (valeurs, croyances, importances…) que nous évaluons une situation. Si la moindre mémoire est réactivée, la situation va nous faire réagir. C’est ainsi que conscientiser pour les réactualiser nos croyances, et les importances/valeurs qui sont en lien est nécessaire, mais il l’est tout autant de nettoyer notre disque dur et de le débarrasser des bugs émotionnels du passé, d’autant plus que notre éducation nous a dressés à ne pas exprimer mais bien à brider les émotions générées par toutes ces événements qui sont venus confronter nos schémas.

Il y a là un potentiel – énergétique – mais il est excessif. Si le travail sur la libération des émotions et des potentiels en excès n’est pas la même chose, les deux sont indispensables pour notre santé psychique et physique, et lorsqu’on est dans l’intention de gérer véritablement notre vie, et de la diriger avec plus de conscience et de responsabilité, comme Transurfing nous en indique le chemin. Comment pourrions nous diriger notre réalité, c’est à dire ressentir avec justesse quels sont nos buts à nous, quelles sont les intentions, actions, comportements et décisions adéquates en corrélation, si nous avons, à l’intérieur de nous un monstre qui peut, à tout moment – et si possible au mauvais moment – sortir de sa boite et nous envahir au point de nous faire sortir de nous-même ? Et que dire de toute cette énergie mobilisée, qu’on ne peut utiliser au profit d’une intention en action ?

Comment prétendre appliquer La loi d’Attraction et l’utiliser pour attirer à nous ce que nous souhaitons vivre, alors que notre corps est plein de ces bouchons émotionnels et que notre vibration en est empreinte ? Comment développer notre puissance à créer des réalités abondantes, en ignorant le langage et l’expression du corps, interface entre notre âme et notre esprit, alors que c’est en lui, concrètement, que se manifeste la vie ?
C’est ainsi que quelqu’un peut tout à fait bien maitriser Transurfing, en tant que connaissance, mais n’obtenir aucun résultats « positifs ». Si la circulation de l’énergie interne est entravée par des bouchons, et que des potentiels en excès continuent à être générés, cela empêche l’Univers (l’intention externe pour Transurfing) de répondre à ses demandes positives conscientes, Univers trop occupé à donner à ce quelqu’un ce qu’il « commande » inconsciemment.

Je songe à Eckart Tollé, qui est celui qui parle du « corps de souffrance » pour nommer l’engrammage émotionnel. Et je me souviens de ceci qui peut redonner du souffle aux plus engrammés d’entre nous qui se reconnaitrons peut-être, afin qu’ils ne se découragent pas. Plus l’alchimiste a de plomb, dit ce cher Eckart, plus il aura d’or. Libérer des émotions c’est s’offrir un plein de carburant.

Bienvenue dans le 3ème millénaire
Le « développement personnel » n’est pas le quantique, la voie quantique n’est pas une approche de plus du développement personnel. Alors que celui-ci exigeait la plupart du temps de revivre mentalement par le menu toutes ces événements douloureux, de s’en souvenir précisément, nous apprenons aujourd’hui avec Transurfing et les approches qui s’en remettent au corps sans passer forcément par la case mentale, que ce chemin de libération des émotions, de résolution des potentiels en excès et de résilience n’est pas nécessairement ni long, ni douloureux.

Vadim Zeland a beaucoup écrit sur le corps (plus encore dans d’autres ouvrages encore à paraitre en français que dans la sage Transurfing). Il attire notre attention sur l’impérieuse nécessité de bien le nourrir (nourriture « vivante) mais également de faire circuler l’énergie, en baissant les potentiels en excès mais aussi par la respiration et d’autres techniques qui privilégient la résolution des tensions par le corps et la posture de l’Observateur. Transurfing est une connaissance, une compréhension, une vision du monde et des choses, qui passent par le mental, mais qui met aussi en garde contre ce mental (« l’esprit » dans la traduction française), qui n’est pas censé être le guide, mais seulement un fier serviteur.
Il serait absurde d’espérer diriger sa réalité, alors que notre destinée serait dans les mains d’un inconscient sur conditionné qui joue avec nous comme avec une marionnette, et que notre santé vibratoire – c’est à dire corporelle – est encrassée.

C’est précisément parce que la longue période Covid que nous avons vécue (oui, oui, je parle au passé pour « tordre » la réalité à venir afin qu’elle se con-forme – c’est la Prêtresse Tufti de Vadim Zeland qui m’a appris comment le faire) nous aura bien « pollués » énergétiquement, et que j’ai découvert dans ces dernières années à quel point le chemin d’évolution vers plus de conscience, de présence, et la dissolution des potentiels en excès, sont facilités par le travail avec le corps, que la priorité au corps et la thématique de la Danse, se sont imposées pour les ateliers pluridisciplinaires de l’université Transurfing de cet été 2021. Ceci afin que nos connaissances et nos savoirs de co-créateurs quantiques puissent s’ancrer et s’intégrer profondément et avec facilité jusque dans le corps de notre être (tiens, le mot « coeur » pourrait être une contraction de corps et être..)

Pour en revenir à l’esprit (le mental/ego de Transurfing), souvenez vous aussi, que bien qu’il soit têtu et toujours en rapport au passé, il se réajuste en permanence. La fameuse plasticité cérébrale. De sorte que lorsque nous faisons baisser ces potentiels en excès, travaillons nos importances (= les fixettes du mental) et réactualisons nos croyances, de nouvelles expériences peuvent être vécues, dont l’esprit tiendra compte. De plus en plus, et de mieux en mieux, ça ouvre, et l’esprit devient alors ce fier et indispensable serviteur, dont nous ne pouvons plus nous passer tant il collabore en bonne intelligence collective avec nos instances supérieures. Si par contre, nous laissons libre cours aux importances de notre mental/ego sans nous employer à les faire baisser, c’est le contraire qui se produit et la réalité nous égratinera un peu plus chaque jour. Plutôt que de vivre de nouvelles expériences et élargir notre terrain de jeux, nous ne faisons que vivre et revivre encore et encore des situations qui augmentent encore nos importances, confortent et renforcent nos croyances limitantes et notre mental/ego. La rigidité s’installe et la vie… devient un enfer !

Pour terminer je me souviens d’avoir entendu cette phrase étourdissante de vérité : c’est d’encrassement que l’on meurt, pas d’autre chose… Notre véhicule corporel est pourtant si magistralement et naturellement équipé pour vivre bien plus longtemps que ce que nous pouvons croire, si doué pour tendre vers l’homéostasie, si toutefois nous ne l’empêchons pas de de résoudre les bouchons qui nous encrassent, à tous points de vue. Apprenons de nos chats, de nos chiens, de la gazelle!

Chères laborantines, laborantins quantiques, à ce jour il reste des places pour embarquer dans ce voyage au corps de votre être, pour vivre, expérimenter et développer en groupe ces savoirs faire et ces savoirs être, dans le but de participer au monde d’après avec justesse, puissance et une énergie de Dieu le feu.

Si on va se aussi se marrer à l’Université d’été ? Ben tiens, on va pas se gêner ! Et il ne s’agira pas seulement de libérer les potentiels en excès et le stress, mais aussi de vivre des processus et expériences joyeuses et nourricières qui nous permettrons un centrage dynamique et de recontacter avec une puissance créatrice inégalée.

A bientôt le plaisir de vous retrouver là-bas pour cette belle aventure dansée, ou ici pour d’autres partages. Et que d’ici là, la manifestation dans l’instant d’une émotion qui vous traverse, trouve sa juste et sa légitime expression.

Toujours au plaisir de lire vos commentaires et de répondre à vos questions pour nuancer le propos.

Votre dévouée, bien dans son corps,

Tati Clara

Le monde d’après – Université d’été Transurfing 2021

L’université d’été Transurfing édition 2021 c’est pour bientôt. Heureuse de vous retrouver pour vous en faire, dans cet article, une présentation plus détaillée, à lire où à écouter ! Au plaisir de répondre à vos questions et commentaires.

Le monde d’après - Université d’été Transurfing 2021

Une édition pas comme les autres

Ceux qui me suivent régulièrement dans l’aventure Transurfing, modèle quantique de réalisation individuelle que je facilite depuis plus de dix ans, savent qu’une université Transurfing n’est jamais une autre, c’est d’ailleurs pourquoi il n’est pas rare d’y revenir. A chaque édition un thème, des ateliers, une équipe pédagogique, un lieu, uniques. Alors que j’étais toujours dans l’idée de mettre le corps et son expression en musique et en mouvement, ce dont je ressentais déjà le besoin collectif l’automne dernier (l’université d’automne n’a pas pu se faire because covid), le choix du lieu qui nous accueillera cet été a renforcé ma position : il dispose d’une salle majestueuse !
Transurfing se voulant un modèle hollistique, quantique et donc vibratoire, sa pratique ne peut ignorer le corps dans lequel nous sommes incarnés. Et c’est qu’il en a amassé du stress ces derniers mois, le corps, et pas un peu. La crise sanitaire mondiale et sans précédent que nous avons vécue, si elle nous a tous impactés mentalement, a bien évidemment généré beaucoup de vibrations basses et activé toute sorte de potentiels en excès (bouchons énergétiques en termes de Transurfing), tant au niveau conscient qu’inconscient, collectif qu’individuel.

Nous avons eu peur, nous avoir douté voire perdu confiance, été en colère, en désaccord, nous avons ressenti pas mal de frustration et été profondément bousculés dans nos habitudes, privés de notre liberté d’agir, de bouger, de nous rencontrer… bref, on peut dire que c’est un grand vent de désalignement qui a soufflé, même si ce n’était pas tous les jours et tout le temps, même si certains ont vécus des bons moments et pu éprouver aussi leur force dans cette épisode.
Je pourrais en écrire trois pages, et nommer toutes ces situations différentes et spécifiques pour chacun-e, nuancer en ajoutant à chaque phrase des « certain-e-s d’entre nous,.. », c’est vrai. Si n’avons pas été malmenés identiquement, si les douleurs et les tracas endurés ont été particuliers et fonction des circonstances privées, une certaine inquiétude et confusion ont bien été vécues de façon collective, sans pour autant nous permettre d’être vraiment ensemble pour les surmonter, comme notre nature d’êtres socio-affectifs nous pousse à le faire. Ce trauma laisse des traces, et envisager le monde d’après sereinement et en puissance – ainsi que la place que chacun-e veut y prendre, ne pourrait raisonnablement se réaliser qu’en réactualisant nos croyances et notre vision des choses (du point de vue mental) et en libérant tout ce stress engrammé, pour pouvoir intégrer nos récentes expériences et sortir grandi-e-s, de l’aventure covid.
C’est pourquoi l’université Transurfing cet été 2021 sera consacrée à un grand et joyeux nettoyage, et à recharger nos batteries d’une énergie nouvelle, une sorte de reset « post-bug », avant de redémarrer.

En piste, et en musique, maestro, maestra !

La grande force de l’être humain est sa capacité à s’adapter (modifier, ajuster). Même si cela nous est naturel dans la mesure où c’est notre survie qui en dépend, cela ne se fait pas sans une certaine dépense d’énergie, ni surtout sans contractions. Ce qui me revient de toutes parts en ce beau mois de juin, même si l’énergie remonte, ce sont beaucoup de témoignages de fatigue. Toutes sorte de fatigues.

« Quand le stress est venu jusque dans le corps, c’est par le corps qu’il faut le libérer » nous dit Vadim Zeland, l’auteur inspiré de Transurfing.

Un de mes crédos, est que tout peut se transformer, se régénérer. Un autre de mes crédos, c’est que la nature est parfaite, et que nous sommes dûment et naturellement équipés pour résoudre et transmuter ce qui nous entrave et nous limite, si toutefois nous permettons à l’ensemble de nos systèmes d’oeuvrer, ensemble, pour une régénération en profondeur. Cela passe bien évidemment par le corps.
Aussi, cet été, en plus des sessions Transurfing qui combinent les moments théoriques avec des exercices, des processus et des expériences de mise en pratique, nous allons danser !
Je ne vous en dirai pas beaucoup plus pour vous réserver des surprises et afin que votre mental ne s’en mêle pas trop, mais attendez-vous à une session quotidienne de danse. Tango, danse des 5 rythmes, biodanse, pour l’inspiration de sessions dans des approches connues, et bien d’autres expériences dansées auxquelles vous serez invité-e-s à participer tout le long du séjour, dont certaines totalement inédites. Comptez sur moi ;)

Un lieu dédié « ami » d’excellence


Il nous fallait un lieu adapté, la chance était avec moi – comme toujours – et j’ai trouvé une perle. Le Dojo de Saint-Christophe, dans la très belle région du nord Tarn en France (à 1h30 au nord de Toulouse) est un gîte très confortable et bien équipé, qui jouit entre autres d’une immense salle de pratique de 180 m2 aménagée dans une ancienne grange rénovée. Nous y serons « chez nous » et au delà du confort au niveau de l’hébergement et des différents espaces et équipements de travail, nous bénéficierons aussi en exclusivité du grand jardin exotique avec piscine.
Nos hôtes, Natacha et Raphaël Tassis, qui ont fait du Dojo de Saint-Christophe un récent projet de vie dédié à l’accueil de stages en développement personnel, sont aussi « par hasard » des amis de Transurfing, modèle qu’ils connaissent et pratiquent depuis longtemps. En outre, ils sont tous les deux thérapeutes énergétiques et Raphaël est également kinésithérapeute.

Quant à l’excellence, elle sera aussi au rendez-vous dans nos assiettes. Jugez plutôt : c’est notre hôtesse elle-même, Natacha Tassis, dont les origines sont en partie asiatiques, qui sera aux fourneaux et qui nous régalera de sa passion combinée pour la cuisine, la santé et le bien-être. Bien évidemment, Natacha peut tenir compte d’éventuelles restrictions alimentaires communiquées d’avance.

Vous avez dit parité ?

Même si dans la philosophie Transurfing, nous apprenons à tirer avantage de toute situation, j’ai une petite « importance » avec cette question. C’est pourquoi je retire une certaine fierté de ce que d’ordinaire dans les groupes que j’anime, il y a souvent autant d’hommes que de femmes. Tous les animateur-trice-s en développement personnel ne peuvent pas en dire autant. Cette année ça ne manque pas. A ce jour, le groupe grandit un peu chaque jour mais continue à progresser de façon équilibrée. Mesdames, les hommes seront aussi au rendez-vous et nous aurons le plaisir, tous ensemble, de réfléchir, de travailler, de danser et de rire, … en parité de genre.

Un joyeux tandem
Le monde, en ce sens et en fonction du principe premier de Transurfing, est bien « miroir », car cette parité de genre se retrouve aussi du côté de l’équipe pédagogique : j’ai la chance d’animer l’entièreté de cette édition de l’université Transurfing « le monde d’après » avec mon ami et collègue Gabriel de Launay, avec qui je co-pilote le Centre Transurfing Francophone depuis trois ans.
D’un point de vue pédagogique et dynamique de groupe, deux de mes dadas, ce binôme au niveau de l’animation – d’autant plus que nous sommes très différents l’un de l’autre -, est une grande force.

Transgénérationnel ?

Gabriel qui vit et travaille sur l’île de La Réunion, me parlait récemment de la participation à un de ses groupes de deux adolescents, pour qui le stage avait été une très belle expérience. Si je ne pense pas que l’université Transurfing soit indiquée pour des adolescents, je me souviens d’une édition où la fourchette d’âge était impressionnante : le plus jeune d’entre nous avait 21 ans et le doyen de notre groupe proche des 70 ! Je ne sais pas si on battra ce record, mais j’aimerais beaucoup. Le monde d’après c’est ça, des femmes ET des hommes, mais aussi des jeunes ET des moins jeunes, qui le co-construisent ensemble. Avis aux « adulescents » et jeunes adultes, c’est aussi en collaboration AVEC vous que nous voulons penser et investir ce monde d’après, en bonne intelligence collective, et en composant avec les forces et spécificités de chacun-e.
Personnellement, et j’ai déjà entendu de nombreux témoignages à ce sujets, j’aurais tellement aimé pouvoir recevoir le modèle Transurfing alors que j’étais jeune adulte. Et vous, les transurfeurs qui me lisez ? Partagez votre avis en commentaire !

Ensemble

J’aime dire que les universités d’été sont avant tout une grande aventure humaine. Travailler, danser, vivre 10 jours et expérimenter en groupe des processus dynamiques pour manifester plus de conscience, de responsabilité, d’intention et d’alignement, mais aussi de légèreté, et partager la joie d’augmenter considérablement la qualité de sa vibration et son pouvoir dans la direction de sa vie, c’est puissant et ça crée des liens nourriciers, souvent durables.

Programme

Traditionnellement, le détail du séjour n’est pas communiqué d’avance. Il inclut le programme des sessions d’initiation et d’approfondissement (modules 1 à 4 du trajet d’intégration et de pratique) revisités/adaptés à la formule résidentielle et en fonction de la thématique, plus des ateliers différenciés qui facilitent et soutiennent la compréhension et la pratique du modèle par la transversalité.
Au niveau de notre rythme, si ce stage immersif est intensif ne fût-ce que par sa longueur (c’est à dessein qu’il est long – effet avant/après garanti !), nous vous réservons des temps de respiration qui peuvent se prendre en solo, le lieu est grand. Une pause pédagogique est prévue à mi-parcours, soit pour découvrir la région, aller plonger dans la rivière toute proche ou simplement flâner et se reposer sur place, au libre choix de chacun. En ce qui concerne les sessions, certaines d’entre elles seront facultatives, afin que vous puissiez, si nécessaire, répondre à votre besoin de vous reposer davantage. Nous commencerons nos journées relativement tôt mais bénéficierons d’une confortable pause de midi permettant, si pas un plongeon dans la piscine, un siestou.

A qui s’adresse ce stage ?

A toute personne, jeune et moins jeune donc, qui souhaite prendre sur sa réalité une pleine responsabilité, et le pouvoir de l’influencer directement en connaissance et cohérence comportementale avec les lois quantiques de l’Univers.
Si la lecture du tome 1 de Transurfing est recommandée, ce n’est pas une obligation. N’hésitez pas à me contacter directement par mail ou par téléphone afin de pouvoir échanger avec moi, poser vos questions et déterminer ensemble si ce séjour de développement peut répondre à vos attentes.

Financement d’État, c’est une première !

En collaboration avec le conseiller formation du C.T.F, nous avons bossé dur afin de pouvoir faire valider officiellement le contenu de la formation dans le but d’obtenir au niveau de la France un financement pour votre stage (attention, ceci est uniquement valable si vous travaillez ou avez travaillé en France et bénéficiez sur votre Compte Personnel Formation du montant suffisant).

Financement par mon compte personnel de formation >> je me renseigne

J’ai choisi d’intituler le stage « Le monde d’après », mais si je joue avec les mots, je pourrais aussi dire pour terminer « Le monde, d’après vous ». Participer à cette édition 2021 de l’université d’été Transurfing, c’est une façon de prendre de belles vacances tout en se donnant la chance de questionner la place unique que vous voulez prendre dans ce monde et les moyens de vous y exprimer avec force et détermination, en cohérence avec vos aspirations les plus folles et surtout les plus profondes.

La suite de cette aventure, c’est avec vous, ensemble, que nous l’écrirons.

Je pourrais vous en dire encore plus mais je m’arrêterai là aujourd’hui. Merci de m’avoir lue (ou écoutée), je répondrai avec joie à toutes vos questions et demandes de précisions. A moins qu’elles ne soient privées, merci de les écrire en commentaire, afin qu’elles puissent servir à tous.

A très bientôt, beaucoup de joie sur votre chemin d’ici là !

Votre dévouée, déjà estivale,

Tati Clara 🌞

L’Observateur Transurfing ou l’alliance avec le divin en soi

Cet article, qui traite des valeurs spirituelles du modèle de Vadim Zeland, a été écrit dans le cadre de la 1ère journée internationale Transurfing, à laquelle ont participé une dizaine de coachs Transurfing de tous pays et de tous horizons. J’en ai fait une vidéo, si vous préférez m’écouter que me lire.

Rejoignez-nous sur la chaine Youtube du Centre Transurfing Francophone où vous trouverez aussi une nouvelle vidéo de Gabriel de Launay sur la vague du succès.

Le monde d'après - Université d'été Transurfing 2021

Nous vous avons concocté un programme à la hauteur de cet été tant attendu. Nous voilà libérés, le monde d’après nous attend. Les inscriptions sont ouvertes et vont bon train. Prendrez-vous cette vague ?

Au plaisir de répondre à vos questions

L'Observateur ou l'alliance avec le divin en soi

Le modèle quantique de réalisation individuelle de Vadim Zeland, un méta modèle comportemental basé sur les compréhensions des lois qui gouvernent l’Univers, est porteur de valeurs spirituelles, qu’une certaine humilité de l’auteur ne rendent pas forcément évidentes d’entrée de jeu. Le but de mon propos ici est de répertorier ces valeurs et de témoigner du très beau chemin d’élévation spirituelle et de la conscience que permet la pratique de Transurfing.

Quelles sont les valeurs fondamentales que véhicule Transurfing ?

Nombreux sont ceux qui au cours des temps ont porté des messages, proposé des récits, des visions du monde, formulé des théories et mis au point des techniques, qui ont guidé les Hommes. Nous permettant de mieux vivre notre séjour sur terre, mais aussi d’en découvrir plus en profondeur le sens caché et les potentiels dont nous disposons lorsque nous nous permettons de croire en ce qui à priori n’est pas perceptible à nos sens, ces messagers éclairés se sont fait guides pour que nous puissions expérimenter la puissance que peut manifester l’être humain en étant en lien avec cet invisible.

Si on y regarde de plus près, même si ces femmes et ces hommes nous ont guidés dans des buts, des langues, des approches, des supports et des champs de pensée très variés, ils se rejoignent et se recoupent si souvent, nous dévoilant de façons diverses un ou des aspects d’une seule et même réalité. Il n’a pas fallu attendre les révélations de la physique quantique pour trouver des hommes et des femmes qui de tous temps, ont cru que tout était relié par des fils invisibles à nos sens, que dans l’invisible siégeait une force dont il est possible que tout émane. Et que avant tout, « ça » avait quelque chose à voir avec l’amour.

Si la réponse est différente pour chacun, les questions, universelles, finissent par surgir au coeur de chaque existence humaine. Que suis-je censé faire ici, qu’y a t-il après, qui tire les ficelles ?

Tout est relié

Tout est amour

Tout est possible (= des choses incroyables sont possibles)

Ajoutons qu’on sait aujourd’hui que tout est énergie et aussi que potentiellement tout est déjà là, comme Transurfing permet de très bien le comprendre. Même si Vadim Zeland ne se prétend aucunement être un guide, mais bien l’humble dépositaire d’un savoir ancestral – qu’ayant capté intuitivement il reformule et organise en un méta-modèle quantique, selon sa formation -, Transurfing n’en est pas moins dépourvu d’une sagesse transcendantale. Ce modèle de la réalité et les valeurs qu’il véhicule, permet à qui le pratique et en incarne les fondamentaux, une formidable élévation de la conscience spirituelle.

A la base de nombreux de ces messages portés par toutes ces personnes éclairées, co-penseurs-panseurs du monde qui nous inspirent, sont avant tout l’amour – de soi et des autres -, mais aussi la notion de responsabilité individuelle et l’idée d’une puissance créatrice joyeuse qui se libère en nous et s’amplifie, à mesure que nous réussissons à nous affranchir des limites et des conditionnements de notre mental et notre ego, et que nous nous connectons à cette puissance en nous.

Ce qui à mes yeux est spécifique à Transurfing, c’est son aspect révolutionnaire dans le sens où le modèle nous permet de faire un pas de plus, en réhabilitant la notion de pouvoir, que d’autres chemins d’élévation spirituelle ont pu avoir comme effet de dévaloriser tant cette notion est devenue pour certains péjorative car en lien avec l’ego.

Que voulez-vous obtenir dans la vie ? Qu’aimeriez-vous expérimenter ?

Dans les groupes Transurfing que j’anime, il y a souvent de ces personnes qui – lorsqu’on les interroge à propos de ce qu’elles veulent obtenir dans la vie – disent ne (plus) rien vouloir et en être satisfaites. Alors que nous sommes vivants et que justement, nous sont enfin dévoilés les secrets et ficelles du pouvoir créateur infini que nous avons de tous temps – «  Dieu en nous, pour ceux qui peuvent l’entendre -, alors que vous êtes vivant, est-ce bien le moment de ne rien vouloir ? Dans ma compréhension des choses, ceux là sont un peu calés dans leur développement spirituel. Si parvenir à ne rien vouloir est un accomplissement en soi et peut-être une étape intéressante sur le chemin de l’élévation de la conscience, surtout si l’ego avait auparavant tous pouvoirs, il est dommage d’en rester là. Pour mémoire, le Bouddha, après son illumination, n’est pas resté assis sous son arbre mais s’en est reparti vers la ville, vers le monde, vers les gens, pour y agir et manifester dans la matière – par l’enseignement dans le cas de Bouddha -, ce que le silence, l’isolement et le non-agir de sa retraite lui avaient permis de réaliser.

Il y a ce commandement de la tradition musulmane qui parle de cela. Voilà ce qui est dit : « Fais pour Dieu comme si tu allais mourir demain et pour le monde, comme si tu devais y vivre toujours ». Ne rien vouloir et s’arrêter à cette étape équivaut à n’avoir perçu que la moitié du message.

Transurfing nous permet d’accéder à une vision de la réalité et des principes qui la gouvernent, en nous donnant des moyens concrets propices à un déploiement de soi sans limites et de l’expression unique de soi dans la matière du monde. Aimeriez-vous aussi que votre passage sur terre profite à l’ensemble ? Aimeriez-vous laisser votre trace d’une quelconque manière, la trace d’une vie célébrée ? N’êtes vous pas, pour le monde et pour les autres, tellement plus un « cadeau » lorsque vous accomplissez votre plein potentiel, heureux de voir vos rêves et vos plus ambitieux projets se manifester dans la réalité ? Tellement plus abondant et joyeux, vous pouvez alors dans cette mesure rayonner, soutenir, partager, faire évoluer les choses, et ce à, un niveau incomparable.

Quand j’étais enfant on disait chez nous « Termine ton assiette, il y a des petits chinois qui meurent de faim. » J’avais tellement pitié de ma mère de dire de telles niaiseries – comment ce petit chinois allait-il pouvoir bénéficier de mon sacrifice ? et on finissait notre assiette. Ne vous forcez pas, ne vous limitez pas, au nom du fait que d’autres souffrent, ça ne marche pas. Soyez abondants et courrez le monde, généreux, généreuse. Voilà ce que nous inspire Transurfing.

Dans la charte universelle des droits de l’Homme sont inscrits entre autres le droit à la liberté et à la recherche du bonheur. Dans ce sens, et même si la pratique de Transurfing inclut de nécessaires moments de contemplation, de rêverie et de méditation (planifier le travail), il y a dans le modèle une invitation à bouger, à agir, à se mettre debout et à mobiliser ses ressources (travailler le plan) pour participer de la réalisation de projets inspirants, l’avènement de réalités abondantes et l’accomplissement de ses buts d’âme les plus élevés.

La réalité, nous dit Vadim Zeland, l’auteur de Transurfing, ne se passe pas en dehors de nous. « Le monde est mon miroir » est le principe de base de son modèle. Et si toute réalité que je vis est un reflet de ce que j’y projette, voilà qu’en adhérant totalement à ce principe, je peux commencer à impacter consciemment cette réalité (le pouvoir) et ne plus jamais avoir à la subir mais au contraire, responsable, d’envoyer autre chose dans le miroir, que je choisis con-sciemment. C’est dans ce sens que Transurfing redore le blason du pouvoir et revivifie la boucle que fait le pouvoir avec la responsabilité. Est-il besoin de préciser qu’il est essentiel de ne pas confondre culpabilité et responsabilité ? Responsabilité = culpabilité ? Cherchez et trouvez les nuances, elle sont de taille.

Un beau challenge. La responsabilité, et le pouvoir qui en est l’attribut, sont deux des valeurs principales qu’incarne toute personne qui pratique Transurfing. La pleine responsabilité, en tout lieu, toute heure, et indépendamment des circonstances, est ce qui va permettre d’accéder à la promesse de Transurfing : influencer en conscience les réalités à venir. Mais aussi, en conséquence, d’expérimenter d’autres états d’être, de manifester dans sa vie et ses comportements d’autres valeurs, toutes aussi précieuses et évidentes sur un chemin d’élévation de la conscience.

L’éventuelle peur de cette responsabilité et de ce pouvoir créateur se dissout dès qu’on peut se connecter à la joie, la paix et la gratitude de n’avoir pas été projeté là dans la réalité, comme une coquille de noix baladée sur l’océan, sans aucune prise sur sa destinée. La peur de ce pouvoir créateur se dissout dès qu’on se permet de se connecter à son imagination fertile, qui ne demande pas mieux que de créer. Voyez autour de vous, hormis la nature, toutes ces choses qui vous entourent. Tout ce qui existe dans la réalité, a d’abord germé en tant qu’idée, puis s’est déployée dans la tête d’un femme ou d’un homme, avant de finir par se matérialiser. Pas besoin d’être génial pour ça, simplement connecté à ce pouvoir de l’imagination, s’autoriser simplement à créer. Déjà, que de joie que de réaliser une pâtisserie, que dire de la joie de créer sa réalité. C’est pourquoi on parle dans la communauté Transurfing francophone d’être de biens joyeux transurfeurs.

Bienvenue dans la famille des joyeux transurfeurs !

Pour en terminer avec le « rien vouloir » et afin d’en arriver à l’intention, au choix et au libre-arbitre, on peut poser la question : Avec un tel pouvoir créateur, n’est-ce pas gâcher une vie que de la procrastiner ? N’est-ce pas dommage de se limiter et de ne pas oser rêver grand, ambitieux ni de s’atteler à la tâche dès aujourd’hui pour participer activement à la manifestation de nos choix? Ne me comprenez pas mal, non en effet nous ne pouvons pas tous devenir de grands auteurs ou des personnes extraordinaires et célèbres, il ne s’agit pas de ça. Ce serait d’ailleurs ennuyeux. Chacune, chacun de nous pourtant a sa note unique à jouer dans la grande symphonie du monde, pour reprendre une image précise. Qu’est-ce qui vous inspire, vous ? Que voulez-vous voir, vous, se matérialiser dans la réalité ?

Transurfing nous apprend comment agir et nous comporter, main dans la main avec ce divin créateur en nous – avec l’intention externe dans Transurfing – et comment faire de sa vie une célébration. (Vadim Zeland fait le lien entre l’intention externe et Dieu, une seule fois dans le tome 1)

Mais où est précisément l’intention externe qui oeuvre à nos côtés, facilitant toutes choses et déroulant pour nous le tapis rouge ? Si on peut dire qu’elle est nulle part et partout à la fois, le bouton pour l’activer est bien à l’intérieur de chacun et chacune d’entre nous. Collaborer avec l’intention externe – ou co-construire puisque ce mot est en vogue – est tout un art, précisément l’art du Transurfing.

Je songe soudain à la Table d’Emeraude, l’un des textes fondateurs de l’hermétisme et de l’alchimie, attribué selon la légende à Hermes Trismegiste. Ce texte est censé avoir été composé durant l’Antiquité greco-égyptienne. Mais ce sont les arabes qui l’ont transmis aux occidentaux, autour du Xème siècle.

Vous vous souvenez probablement de cet extrait : « Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas… »

Le monde est mon miroir, encore. On en vient dès lors aux notions de choix et de libre arbitre, chers à Transurfing. J’aime cette citation de Sartre, qui dit à peu près « Je ne suis pas responsable de ce qu’on a fait de moi, mais je suis responsable de ce que je fais de ce qu’on a fait de moi. » Ainsi, en dépit de tout le passé, il y a au coeur du modèle Transurfing le principe de la souveraineté du choix dans la présence, de la possibilité que tout existe et qu’on peut tout choisir au départ de chaque instant, libéré du conditionnement et des limites du passé.

Tout est possible !

Encore faut-il croire que c’est possible. Ici à nouveau, les liens avec la spiritualité sont évident.

Dans Mathieu 8 : 13, Jésus dit au centenier : Va, qu’il te soit fait selon ta foi. Et à l’heure même le serviteur fut guéri.

Le 1er des choix qui se pose devant nous quand on veut pratiquer Transurfing, est celui de la croyance que le monde étant mon miroir, il me sera fait selon mes choix. C’est un sacré credo !

Encore faut-il que ces choix deviennent conscients et guidés par l’Observateur, histoire de ne pas envoyer dans le miroir de commandes qui ne correspondent pas à ce que nous voulons. C’est là qu’intervient l’Observateur. Si c’est lui qui a le pouvoir, c’est facile. Il est tout à fait équipé pour repérer dans le système intérieur les moments de désalignement et les réactions émotionnelles qui en témoignent. Ceux-ci sont compris et gérés par lui comme un grand frère bienveillant. Il ne juge pas, il accueille ce petit en soi (l’esprit = mental/ego), quand la situation extérieure l’égratigne et qu’il s’agite, sans pour autant le laisser prendre la barre ni réagir à la situation. Entendu, compris enfin, le petit s’apaise et se laisse d’autant mieux rediriger vers la cap auquel veille paisiblement l’Observateur, qui se pose en permanence les précieuses 3 questions de la CNV :

Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qui est ?

Qu’est-ce que je veux ?

Qu’est-ce que je fais ?

La réaction est le mode opératoire de l’esprit (ego/mental), elle est fulgurante, irréfléchie, émotionnelle et donc uniquement basée sur les expériences vécues dans le passé. La réponse, elle, est l’apanage de l’Observateur, qui considère et voit tout d’un autre point de vue, plus large, plus nuancé, plus éclairé, plus aimant.

Un petit temps avant de répondre est souvent utile. Et n’est-ce pas sage ?

Ici encore le lien qui me vient, c’est la recommandation dans l’islam de boire une gorgée d’eau avant de répondre à quelqu’un ou à une situation embarrassante. Précieux gain de temps qui permet à l’Observateur d’envisager la situation dans son ensemble, de faire les bons choix en lien avec l’intention et l’immensité du champ des possibles, et enfin de répondre avec justesse. L’Observateur est donc celui qui response-able, capable de répondre.

Vous êtes énervé, la situation en cours vous confronte ?

Avant quoi que ce soit, buvez de l’eau :)

Il y a donc beaucoup de joie sur ce chemin de responsabilité, dans la relation qu’on entretient avec la vie et avec l’Univers avec lesquels nous interagissons, je pourrais dire avec lesquels nous dansons véritablement en puissance.

Mais il y également beaucoup de joie à expérimenter la pratique de Transurfing dans la sphère de nos relations personnelles, où la responsabilité prendra aussi une grande dimension. Pas plus que vous n’êtes obligés de subir les événements, le cours que prend les choses étant une conséquence de vos choix, vous n’êtes censés subir vos relations sans pouvoir les impacter positivement. Ce que vous vivez dans votre rapport aux autres, est aussi une de vos créations. Transurfing nous apprend à exercer une pleine responsabilité dans nos rapports avec les autres, et nous apprend comment faire dans leur vie une grande différence en faisant du don une priorité. « Renonce à l’intention d’obtenir, remplace-la par l’intention de donner, et tu recevras ce à quoi tu as renoncé » est en ce sens, une des plus belles citations de Vadim Zeland. Cette maxime ne vous rappelle rien ?

On en vient à l’amour, à la dimension du coeur, essentielle dans la pratique de Transurfing, ce qui rejoint les avancements scientifiques quand à la puissance d’émission électro magnétique du coeur, qui nous donne à appréhender notre réalité vibratoire et comprendre comment concrètement nous communiquons avec l’Univers. Aimant, ça veut dire « ce qui attire » ? ou « ce qui aime » ? Pareil, amusant non !?

Pratiquer Transurfing, c’est continuer à apprendre à aimer toujours plus et mieux. Et c’est là que la magie commence vraiment.

Quand l’Observateur est bien en place – ce qui demande une présence et une attention de chaque instant pour ne pas se faire embarquer par un esprit (mental/ego) prompt à la réaction émotionnelle – il est en mesure de se laisser inspirer par l’âme/coeur et de co-construire des réalités nouvelles et heureuses en veillant à l’alignement des différentes instances en nous.

Se laisser guider par les principes de Transurfing, dans la sphère relationnelle, c’est extrêmement confortable, stimulant et efficace. A notre niveau d’équipe, notamment dans la dynamique de cette table ronde de coachs, d’animateurs et de conférenciers Transurfing qui diffusent et transmettent le modèle en Europe, ce sont ces principes que nous adoptons naturellement dans nos échanges. Quelle fluidité, quelle simplicité mes amis, presque un jeu d’enfants.

Nous avons déjà évoqué la responsabilité, le pouvoir, la joie, la créativité, la paix, la gratitude, la conscience, l’amour et le don. Mais aussi, via d’autres attributs du préfrontal – la plus grande intelligence en nous, notre cerveau connecté auquel la posture de l’Observateur donne accès : la nuance, la flexibilité, l’humour, l’empathie et la bienveillance, la vision globale, l’intuition, …et j’en oublie, c’est certain !

Parlons maintenant de la notion d’acceptation. Détachée dans Transurfing de toute idée de fatalisme, cette capacité à accepter n’empêche pas celle de vouloir quelque chose. L’acceptation ne s’oppose pas, malgré les apparences, à la volonté, à l’intention, … Elle fait partie intégrante du processus de création. Dès son but fixé, le transurfeur a compris et appris à s’en remettre à plus grand que lui quant aux chemins que prendra la réalisation de son but et à la tournure que prendront les événements qui vont mener à sa manifestation. L’Univers connait des raccourcis que l’esprit ne peut pas concevoir.

Accepter c’est continuer d’avancer, avec foi et confiance que tout se passe parfaitement bien, quoi qu’il se passe (confiance littéralement = foi avec), mais avec une foi cré-active. Cette fondamentale capacité à accepter et à rester acteur (celui qui continue à acter, à être dans l’action), est soutenue dans la pratique de Transurfing par une attention constante qui nourrit l’acceptation : la recherche des avantages, en toute situation. Et il en faut une sacrée foi pour croire et voir en toutes circonstances que les événements sont à mon avantage. Pour cela il faut déjà les accepter.

L’acceptation est aussi au centre du processus de guérison du passé et du pardon, sans lesquels l’esprit continue à sur-réagir et reste difficile à cadrer par l’Observateur. J’ai observé que souvent, quand quelqu’un démarre avec Transurfing, il y a ce retour sur le passé, cette période où grâce aux outils de Transurfing, les personnes mettent de l’ordre, de la conscience et du lâcher prise par rapport à leur passé. Cela intervient au début de la pratique, moment où on prend conscience des limites que nous nous sommes fixées, afin d’élargir notre champ de vision et d’action. L’acceptation est présente tout le long de cette mise à plat et des processus de libération du passé et des potentiels en excès qu’ils alimentent.

Holistique est un qualificatif qui sied parfaitement à Transurfing, dont le sous-titre aurait pu être « Mode d’emploi clair, pratique et simple, pour une vie créée en pleine conscience et en pleine reliance. S’applique à tout. » Transurfing est bien un méta-modèle qui relie (de religare, dont vient aussi le mot religion), fait des liens et donne également sens à d’autres compréhensions/enseignements, leur permettant de s’inscrire dans un formidable projet global et cohérent de développement de soi. Cette qualité holistique d’un modèle qui relie – donne de la reliance – nous renvoie aussi à une perception de soi unifiée, défragmentée, dépolarisée mais également connectée. Et ça, ça fait du bien !

Ainsi Transurfing  peut inclure toutes sortes de pratiques pour affiner sa compréhension et faciliter son intégration, comme le positivisme, la communication non violente (de toute évidence la langue de l’Observateur), le Hoponopono’ des hawaïens fort utile pour libérer facilement les empreintes douloureuses et limitantes du passé génératrices de potentiels en excès, par exemple et, d’un point de vue physique, autres exemples, des exercices de TRE (Trauma release experience) pour la libération par les tremblements du corps, ou de cohérence cardiaque, une petite merveille au quotidien pour amener le cœur à un état de cohérence tel que tous les systèmes intérieurs sont ramenés à l’homéostasie. Une boucle rétroactive pour induire, par l’équilibrage des battements du cœur, le retour dans la posture de l’Observateur.

Les précieux accords toltèques entrent en totale adéquation également, ce sont d’autres possibles gammes pour nous apprentis transurfeurs (et notamment pour alimenter notre chasse à l’importance.)

Je m’arrêterai là pour les exemples, il y en a des tas d’autres, et j’en découvre chaque jour davantage avec beaucoup de curiosité. Depuis que j’ai découvert et me suis passionnée pour la pratique et la transmission de Transurfing, je suis émerveillée à chaque fois que je peux faire un lien et nourrir ma passion de transmettre Transurfing avec plus d’acuité, d’images porteuses, de bons mots… Cela m’inspire et m’enthousiasme, tant je ressens l’excitation et la joie de me ressentir au bon endroit, si bien guidée.

Pour terminer avec ces valeurs fondamentales de Transurfing, ces qualités que tout transurfeur développe au fur et à mesure de son adhésion au modèle et de sa mise pratique, il y a l’idée de base de la simplicité. Pratiquer Transurfing c’est s’offrir, enfin, à la simplicité. Très en vogue dans notre époque où tous nous sentons pertinemment que nous nous en sommes par trop éloignés, le modèle de Vadim Zeland nous y ramène sans détour. On ne le dit pas assez, Transurfing est un chemin de facilité. Vous, nous, en avons suffisamment bavé… (Un clin d’œil avec Prêtresse Tufti est ici inévitable, pour ceux qui connaissent ses enseignements :)

Et comme vous le savez, ça n’a pas forcément marché… Avec Transurfing, il n’est pas question de changer qui on est, mais d’accepter totalement et irrévocablement qui on est, et de l’exprimer librement. Ça fait des vacances pour tout le monde, quelle détente de se sentir absolument parfait tel qu’on est. Et de laisser les autres être qui ils sont. Chacune, chacun différent, unique, spécifique. Exit la culpabilité, contre-productive. Avec une estime de soi désormais plus solide, on découvre avec Transurfing que, s’il y a quelque chose à changer, ce ne sont que nos comportements et ce qui les induisent. Les principes et techniques que nous apprenons à maîtriser avec ce modèle de la réalité ramènent tous à la posture du centre chère à de nombreuses philosophies, campée dans Transurfing par l’Observateur. Aller dans le sens du courant, et non plus perdre de sa précieuse énergie vitale pour batailler sa vie. S’offrir à cette simplicité dynamique est tout le bien que je vous souhaite, à vous qui découvrez peut-être Transurfing aujourd’hui. S’offrir à la simplicité est cet état d’être à la base du jeu de la vie tel que Transurfing nous apprend à le jouer, un jeu passionnant dans lequel tout devient possible et dans lequel c’est vous qui tirez les ficelles ! Vous avez dit « happy » ?

Tu n’exagères pas un peu Tati Clara, avec tous tes superlatifs ? « Venez voir mes belles oranges pas chères, elles sont merveilleuses! » Il n’est pas toujours facile de parler en bien de quelque chose qu’on a aussi à vendre, sans que ce ne soit perçu comme une démarche purement commerciale.

Depuis dix ans je transmets l’art du Transurfing – que je pratique bien évidemment moi-même avec autant de succès que d’échecs, dont je ne rate pas le moindre enseignement, afin de le partager et d’augmenter mes compétences à le faire de façon inspirée – Le travail avec les groupes en présentiel, est ce qui reste à mes yeux la plus puissante des initiations à la pratique de Transurfing, après l’étape enthousiasmante de la lecture de la saga et d’une compréhension/adhésion de base du modèle de Vadim Zeland. Ce livre vous allez soit le dévorer, soit passer à côté – une question de timing ? Il sera alors question de laisser agir mentalement et de revisiter progressivement votre carte du monde, tout mettant le modèle en pratique au quotidien. Cela se fait seul, et cela se pratique aussi en groupe, c’est comme pour la musique. Mais quelle dynamique, quels avancements prodigieux pour chacun des membres du groupe et pour l’ensemble ! Dans les groupes, il y a quelque chose de l’énergie démultipliée, je ne vous apprends rien. C’est ma passion à moi, en dehors de Transurfing, d’orchestrer un groupe. Et cela fait véritablement de ma vie une célébration, pour reprendre les termes de l’auteur.

Aussi je terminerai par vous dire merci, merci de m’avoir écoutée et de participer de faire de ma vie une célébration, par la transmission de ma passion pour Transurfing.

Pour conclure, je dirai que tout c’est vrai, n’est pas si happy, easy, smartly, fluently que ça, au départ – C’est vrai qu’il y aura à faire des gammes et quelques armoires à dépoussiérer.  Certains jours votre esprit vous en fera quand même voir… Mais ce que vous rencontrerez sur ce chemin de la maîtrise de l’art du Transurfing, tout le long et dès le début, à des degrés de plus en plus élevés, ce sont des états et ressentis de :

Douceur, joie, confiance, paix, sérénité, enthousiasme, détermination, force, puissance, audace, spontanéité, intuition, clairvoyance, humour, équilibre, …

Je vous souhaite un beau chemin spirituel, d’élévation de votre conscience, de votre responsabilité et de votre pouvoir à célébrer votre vie et à vous accomplir dans toutes les dimensions de votre être.

Faites de la double question « Comment je m’autorise pleinement à être moi-même ? et comment j’autorise pleinement les autres à être qui ils sont ?» l’investigation la plus passionnante de votre vie, jusqu’à trouver le filon, et exprimez vous joyeusement et librement dans votre couche du monde !

Enfin, j’ai cherché un mot, un seul, le mien, pour définir ce à quoi la pratique du modèle de Vadim Zeland m’invite, d’un point de vue spirituel. Transurfer, c’est pour moi aujourd’hui faire l’expérience de l’équanimité.

J’aimerais vous laisser sur une question. Et pour vous, quel est ce mot unique ? Quelle est cette qualité, cette valeur que Transurfing vous invite à incarner sur votre chemin ? S’il n’y en avait qu’un, ce seul et unique mot inspirant que vous associez à Transurfing sur votre actuelle ligne de vie, quel est-il ? Merci de le partager en commentaire !

N’hésitez pas à commenter, poser vos questions et demandes de thématiques, vos précieux avis sont pour moi une grande source d’inspiration.

Belle journée ou soirée, à bientôt et que d'ici là oh joie, le courant vous transporte !

Votre dévouée, Tati Clara 🌈

Manifester l’amour, chacun son style !

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Il y a peu, je vous présentais mes bons vœux pour cette année 2021, mettant l’accent sur l’amour que je nous invite à faire trôner en priorité dans notre vie cette année, parce qu’il n’y peut-être bien que ça de vraiment important, mais aussi, parce que la période le demande, dans la série « faire contre mauvaise fortune bon cœur »… Je vous annonçais une série d’articles sur l’Amour, aujourd’hui, actualité oblige, c’est d’amour amoureux que je vais vous parler. Plus précisément de communication amoureuse, et des clés de compréhension et d’action de ce vecteur essentiel dans les relations affectives, que nous propose Gary Chapman, auteur des « Cinq langages de l’amour. »

Aimer plus, aimer mieux, oui, mais comment aime-t-on ?
Manifestons-nous chacun l’amour de façon identique ? Bien évidemment, non, ce ne serait pas du jeu dans la passionnante expérience humaine que nous vivons et dont la caractéristique principale est la dualité. L’altérité en découle. En tant qu’être socio-affectifs, nous sommes tous  forcément exposés à l’altérité, à la différence, et en nécessité de « gérer » nos relations avec «les autres ».
Si ce que l’on nomme « la relation » est un concept, la communication entre deux personnes en est la manifestation concrète, le lieu et l’espace où la relation prend véritablement corps. D’où la question « Comment je communique mon amour à ceux, celui, celle que j’aime ?» est plus réaliste et féconde, si on cherche à mieux/plus aimer, que la question plus abstraite « Comment j’aime ? ».

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2021 – Laissez moi vous parler d’amour

Et alors, Tati Clara, on n’dit plus bonne année !?

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Bonjour à tous et à toutes, non non je ne vous ai pas oubliés, oui bien sûr je vous souhaite une bonne et heureuse année 2021 ! mais voilà.. C’est que depuis le 1er de ce mois je planchais sur les vœux que je souhaitais vous adresser.. Je ne tenais pas à m’exprimer directement sur la situation globale en cours, mais je ne pouvais pas non plus vous écrire sans y faire référence. Que dire ? A des circonstances exceptionnelles des vœux différents, le ton et le propos de vœux traditionnels n’ont évidemment pas non plus leur place dans une période qui signe bel et bien la fin du règne des bisounours… Si elle n’est pas si grave qu’on nous le dit peut-être, la situation reste très sérieuse. Que dire ? J’ai attendu l’inspiration.. pensant toujours à cette question : de quoi vous parler, vers quoi attirer votre attention? Attention tellement happée au niveau collectif par la crise qui nous occupe, nous impose des mesures historiques et génère tant de peurs et de frustrations. Enfin s’est imposée une direction :

Je n’ai d’autre envie que de vous parler d’amour. Vous préférez un grand A ? Allez, va, parlons un peu de beaucoup d’Amour pour cette année 2021.

Si, en définitive, il n’y avait que l’Amour ?

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Acrostiche – Les 11 « commandements » de Transurfing

Si beaucoup de lecteurs comprennent aisément et s’enthousiasment des principes du modèle quantique de réalisation individuelle TRANSURFING tel qu’il a été écrit, pour certains autres, la pensée et/ou le style de Vadim Zeland sont moins évidents à appréhender. Ils ne sont en rien « nuls » pour autant, il s’agit probablement pour ceux-là d’autres chemins d’accès au choses (voir intelligences multiples). Dans mon actuel métier de coach individuel et d’animatrice de groupes d’intégration et de pratique Transurfing, la capacité à formuler autrement et reformuler encore pour offrir de multiples voies d’entrée, est un de mes atouts. Cela à la fois m’amuse et comble mes exigences de pédagogue : que chacun-e, que toutes les individualités qui forment un groupe – peu importe les profils d’apprentissage en présence – puissent être «rencontrées ». 

Il y a peu, j’ai reçu un mail d’une personne qui me disait avoir des difficultés à lire l’oeuvre de Vadim Zeland, et me demandait s’il n’existait rien qui puisse s’apparenter à un « Transurfing pour les nuls ». Ce n’est pas la première fois.

C’est dans cet esprit de challenge – ce n’est certes pas un exercice si facile qu’il y parait, que celui de rendre simple et accessible quelque chose qui est complexe, sans en diminuer pour autant la puissance ou en perdre la finesse – que je me suis amusée à écrire à votre attention, avec les lettres qui forment le mot TRANSURFING, un acrostiche de ses 11 commandements.

Dans la mesure où Transurfing est un modèle comportemental, la question revient donc à : 

S’il n’y en avaient que 11, quelles seraient les façons prioritaires de se comporter pour avancer vers plus de maîtrise dans la création de sa réalité, tel que nous l’enseigne Transurfing ? On y va !

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Transurfing : Quand les balanciers nous font avancer !

Il y a eu – et il y a toujours – autour du Covid19 et de la crise sanitaire sans précédent qui l’accompagne, à différents niveaux, beaucoup beaucoup de confusion… et bien des balanciers, si prospères dans cette situation, pour se nourrir de l’énergie positive de leurs adhérents tout autant que de celle, mentale, de ceux qui les combattent. Comment faire pour que ces mêmes balanciers, ces géants avides que seul leur profit motive, nous propulsent et nous donnent les moyens d’un développement massif de notre communauté de conscience ? Et que par elle, le monde soit dirigé vers une plus belle et saine expression de son Humanité ?

Où va ce monde bon sang ? Comme vous peut-être, je me suis posé la question. J’ai eu, face aux informations contraires qui me sont présentées, des pensées et réactions variées : Il semble que ça tire dans toutes les directions… Il faut que j’en apprenne plus. Etonnement, inquiétude, rage, confusion et découragement parfois face à tant de maladresses, de non-dits, de contradictions, de manipulation et un manque évident de transparence… Plus j’avance et essaye de comprendre, plus je m’emmêle les pinceaux. Et si ces débats, au final, n’étaient pas les miens ? Où est ma place dans tout ça ? Vous êtes-vous, vous aussi, posé la question? Si une compréhension juste de la confusion et de la baisse d’énergie qui s’emparent de moi lorsque j’essaye de fixer mon jugement sur tout ça, était en définitive, que là n’est pas mon chemin !? Le ressenti ne ment jamais… S’informer n’est pas le problème, mais le faire avec sérieux, alors que le volume à ingurgiter est d’autant plus grand que la crise est aiguë et mondiale, ça me mangeait tout mon temps et me laissait énergiquement exsangue. Trop is te veel, dit-on par chez nous..

Le jeu du balancier

Après avoir vécu une période de plusieurs semaines où la question était pour moi bien trop polarisée : à savoir que pendant quelques jours, je replongeais et m’immergeais dans le flux des informations contraires et continues, écoutais pendant des heures toutes sortes d’informations et d’avis d’experts de tous bord, dans l’intention de comprendre, de fixer une réalité, de me faire un avis, et pourquoi pas de le partager.

Suite à quoi, crevée, dubitative et en pleine confusion/inquiétude, je me retirais du jeu et retournais à mon présent tailler les roses au jardin, visiter un ami, me balader, m’appliquer dans ma séance de Pilates ou m’offrir une vague de danse des cinq rythmes. Tout alors était bon, dans la période qui suivait ma boulimie d’infos, tout sauf écouter les commentaires de mes contemporains sur les crises en cours. Ouf, ça fait du bien. Mais trop, c’est trop, et après quelques jours de la sorte, à nouveau je revenais à la pêche aux infos et m’en ingurgitais à nouveau tout un paquet, jusqu’à saturation parfois, d’autant plus que rien ne s’éclairait vraiment et que la confusion régnait de plus en plus… L’aspect protéiforme de la réalité n’est peut-être pas caractéristique de notre seule époque, toutefois il me semble qu’il n’a jamais été si palpable, aussi concrètement manifeste !

J’observais ces allers-retours vers les extrémités de la polarité et identifiais mes importances en jeu ainsi que les balanciers qui s’en nourrissaient. STOP.

Qu’Ils se débrouillent sans moi ! Là n’était pas du tout mon terrain de jeu. Ce que je pus percevoir avec certitude grâce au lâcher prise qui suivit la compréhension que je donnais beaucoup trop d’énergie à ces balanciers.

La position que nous recommande Transurfing,
lorsqu’on commerce avec des balanciers – ce que nous faisons tous en permanence et plus encore aujourd’hui que jamais -, est celle du centre. Le centre, c’est quelque chose comme revenir à soi, descendre et se mettre en lien à soi plus en profondeur, afin que deviennent plus évidents les besoins et aspirations de notre âme, auxquels nous allons pouvoir mieux répondre.
En nous affranchissant des importances et envies d’un esprit conditionné qui colle en surface à la réalité en cours et y réagi, s’y investi – dispendieux de notre énergie vitale -, nous observons ses caprices et ses exigences réactives, depuis notre centre, plus à distance de la réalité et en lien avec le ressenti dans l’instant. Dans cette posture nous pouvons cadrer cet esprit et dévier son attention vers nos essentiels. Après tout, la vie reste courte et les 24 h de nos journées bien vite remplies… A quoi choisissons-nous de consacrer du temps ?

Cette maîtrise de notre attention de l’Observateur n’étant pas disponible tout le temps – sauf chez les Maîtres – il est naturel de replonger de temps à autre. Si le désalignement est alors le problème, il est aussi la solution – La vie n’est-elle pas merveilleuse ! – Car il suffit de rester en contact avec son corps, ce vaisseau perceptuel/sensoriel du corps qui s’exprime en permanence et témoigne de notre état intérieur, pour percevoir les signaux d’alerte et se poser les bonnes questions.

 

Mon bilan intermédiaire fût que oui le monde était bien dans la mouise et que nous étions hyper manipulés, en effet. Bisquerage. Mais que par ailleurs je continuais de croire que le changement véritable adviendrait de la masse consciente que nous formons, que le 100ème singe, ma foi, ne devait pas être bien loin…

Que grâce à cette masse joyeuse, éveillée et en croissance permanente que je participe concrètement à faire grandir dans le cadre de mon métier de coach personnel et animatrice de groupes, nous réussirions bientôt à faire basculer la réalité collective vers un avenir plus humain et digne de ce nom. Cela est déjà en route.

Plutôt donc que de continuer à donner mon énergie, en oscillant entre un état hyper impliqué – en mode au secours, il faut tout changer tout de suite, mon Dieu comment faire ? – et un autre, opposé, en envoyant tout sur les roses, perdue pour l’humanité et tenue loin de mon ordinateur et même de mon téléphone, me privant d’autres nourritures, de liens sociaux et d’activités créatives, saturée par l’overdose d’informations, de commentaires, de supputations, de paradoxes, de débilités, de mensonges… et des conversations mouvementées qui en découlent, j’ai commencé à me re-re-poser.


Le mieux que je puisse offrir à l’Humanité, en dépit de tous les travers, c’est seulement qui je suis
. C’est ma seule et unique offre, le seul cadeau véritable à faire au monde. C’est à la fois un droit et un devoir. Or je n’ai pas vocation à être premier ministre, n’est-ce pas ? Je pouvais donc – sans regrets ni remords – reprendre sereinement mon chemin personnel d’écriture, ma place auprès de chacun souhaitant se développer davantage, se responsabiliser, élever sa conscience, sa vibration et la qualité de ses actes, la beauté de ses créations. Je pouvais simplement continuer à m’investir dans le développement du Centre Transurfing Francophone dont j’ai la charge avec Gabriel de Launay, afin que toujours plus de monde dans l’espace francophone, ait accès à l’enseignement de Vadim Zeland et à une pratique facilitée de son inégalé modèle quantique comportemental, TRANSURFING. C’est bien une de mes façons personnelles, sur mesure, de participer avec justesse au chantier du monde d’aujourd’hui et de demain. Quand à ma petite personne – et cela est vrai pour chacun-e – je ne pouvais mieux faire que de lui faire du bien, en ce compris tout ce qui participe à augmenter ma vitalité, mon immunité et une belle santé à tous points de vue. Cela aussi, ça prend du temps sur une journée.

Le meilleur pour la fin ! Et le titre de cet article alors ? Qu’en est-il des balanciers qui nous feraient avancer Tati Clara ?

Bravo, je vois que vous êtes attentifs !

J’avais gardé le meilleur pour la fin. Ayant donc pacifié mon rapport aux balanciers de cette crise, les laissant se dépêtrer sans mon intervention directe – Les gouvernements, la Presse, l’OMS et l’industrie pharmaceutique, les donneurs d’alertes, les complotistes, et j’en passe des gros… – je retournai tranquillement vaquer à mes affaires et récupérai rapidement beaucoup d’énergie. Plein d’énergie !

En fonction de mes priorités du jour, j’écoute de temps à autre des informations jugées pertinentes, avec une forme de détachement, sans être affectée. J’ai lâché. Cette réalité qui ne me plait à priori pas, a le droit d’exister. Y donner tort équivaut à la renforcer. C’est le point au départ duquel je crée. Mon seul job – en tant que transurfeuse – est de diriger mon énergie et mon attention vers ce que je veux, tout en cherchant les avantages de toutes les situations, même et d’autant plus que je ne les aimerai(s) pas. Voyez-vous, à force d’avoir toujours davantage de scénaristes (nous) joyeusement engagés là où ils excellent – c’est à dire dans la création de scénarios magnifiques – l’Humanité n’aura d’autre choix que d’endosser son plus beau rôle :)

En quoi, alors, ces gouvernements par exemple pourraient-ils être utiles à ma cause ?

La réponse tomba moins de 3 jours plus tard, par le biais d’un ami français, transurfeur, qui me sollicitait dans le cadre de son activité de consultant pour envisager concrètement ensemble l’octroi de subsides gouvernementaux pour le financement des formations de développement que nous proposons au C.T.F. Ben ça alors…bingo !

Tu veux dire, lui répondis-je, que tu t’es spécialisé en recherche de subsides pour financer tout ou partie des frais d’inscription d’un-e stagiaire à une formation comme celle de Transurfing, qui pourrait tout à fait rentrer dans les critères !? Exactement !

Youpee, merci dis-je intérieurement à l’Etat français qui me montrait soudain un autre visage, merci pour le coup de pousse ;) ça c’est vraiment une super dynamique, un dispositif intelligent, constructif ! Il ajouta que les possibilités étaient nombreuses, pour des profils et des situations très différentes, et que beaucoup de gens ignoraient ces substantielles enveloppes offertes aux citoyens pour se développer, comme tuteurs de croissance. Il s’agit bien de la France, en fonction de l’expérience que nous en ferons, nous tenterons d’élargir cette possibilité à d’autres pays.

Et si l’argent avait été un obstacle, le voilà qui tombe ! Dans le cadre de votre situation professionnelle actuelle, il existe de nombreuses possibilités que votre formation Transurfing soit financée entièrement ou au moins partiellement, interrogez notre consultant à ce sujet !

Ce conseiller en financement formation s’appelle Emmanuel Licari, voyez directement avec lui dans quelle mesure vous pourriez être subsidié pour votre participation aux formations dispensées dans le cadre du Centre Transurfing Francophone.

+33 (0) 7 82 78 43 07

 

Merci de m’avoir  je vous retrouve ici bientôt ou en présentiel à Paris fin août et pour le résidentiel de l’Université d’automne Transurfing 2020, du 11 au 21 octobre dans la région de Nîmes, pour une très belle édition que nous vous préparons avec enthousiasme ! 

Flyer-unif-dautomne-2020

D’ici là, un très bel été à chacun, qu’il brille tant à l’extérieur qu’à l’intérieur et fasse murir nos plus belles énergies, nos plus ardents souhaits. Puissiez-vous chacune, chacun, trouver votre veine d’or à vous, votre place unique dans ce monde en transformation et de là, devenir pure énergie pour la réalisation de vos rêves les plus ambitieux, pour votre plus grande joie et le bien-être de tous.

Pensez à nous gratifier d’un commentaire, racontez-nous comment un balancier a pu vous propulser à l’occasion vous aussi !

Votre, dé-tendue, estivale,

Et bien dévouée,

Tati Clara

 

 

 

Université d’automne Transurfing octobre 2020 : Être le Changement – Présentation détaillée

Un été indien pour se faire du bien ? Ben, tiens !

Le 11 octobre prochain, dans le sud de la France, l’université Transurfing ouvrira ses portes pour la 7ème fois. Cet article a pour but de vous présenter cette édition automne 2020, spéciale à plus d’un titre.

>> ICI le flyer avec toutes les informations utiles

ICI l’audio de l’article (18 min d’écoute) :

 

Une fois n’est pas coutume, le résidentiel intensif Transurfing se fera à l’automne – et j’aime à le dire, puisqu’on peut l’imaginer sous un ciel clément et la lumière encore intense du sud de la France – à l’été indien.


Obligés par la crise du Covid19 à reculer pour mieux sauter, nous avons postposé le résidentiel d’intégration et de pratique annuel du Centre Transurfing Francophone, organisé habituellement l’été. Et en avons profité pour orienter son thème vers des questions et des besoins essentiels, que posent la période mouvementée vécue au niveau collectif. Cet article a pour but de vous présenter plus en détails ce stage unique.

Comment être le changement ?

Puisque le monde est mon miroir, comment l’incarner ? Comment inviter notre corps à participer à cette danse, dans cette mouvance, afin que se manifeste sans attendre au niveau individuel ce que nous souhaitons voir intégrer le corps collectif du monde ?

Après le confinement – malgré les apparences, ce n’était pas des vacances… ! -, bon nombre d’entre nous au moment de reprendre, ont du pain sur la planche et n’auront probablement pas l’occasion de vivre un été habituel. Beaucoup disent « Rien ne sera plus comme avant. » En quoi cela sera, pour vous, différent ? 

Faire l’expérience d’un séjour vitaminé de développement de soi, de retour à soi à la fin de ce drôle d’été, avant de repartir pour un tour, ressourcé-e, dynamisé-e, inspiré-e – c’est ce que nous vous proposons de vivre au sein d’un groupe riche et bienveillant, du 11 au 21 octobre prochains, en France, dans la région de Nîmes.

Il est temps de danser !

Le choix de mettre pour cette 7ème édition le focus sur le corps, la danse et l’énergie en mouvement, dans ce sens, répond aussi à une seconde exigence : c’est qu’en cette expérience inédite que nous avons tous vécue – ze crise of ze covid19 -, nous en avons (eu) du stress à évacuer, des émotions à libérer, des mémoires à dépasser, des visions à réactualiser, des défis à relever et des forces neuves à mobiliser !

 

Ainsi, l’université d’automne Transurfing 2020 qui met la danse, le mouvement et le bien-être du corps, en support et résonance avec le travail d’intégration et de pratique des principes du modèle quantique de réalisation individuelle de Vadim Zeland, est avant tout un séjour hollistique pour se faire du bien, pour faire « tripes neuves », laisser l’âme exulter et nous inspirer, activer en soi de nouvelles lignes de force et installer le leadership d’un Observateur solide, avant de retourner dans le monde y participer de façon plus dynamique, alignée, légère et juste pour soi.

Ateliers transversaux et approches croisées

Il reste étonnant et merveilleux pour moi de voir à quel point la connaissance et la pratique d’autres approches, techniques et courants philosophiques, spirituels ou de développement de soi – et pas forcément les plus récents -, peuvent énormément faciliter la pratique de Transurfing. Les liens essentiels qu’on établit entre eux et Transurfing révèlent de nouvelles portes : c’est la magie de la transversalité. A l’université Transurfing – j’aime l’appeler notre laboratoire quantique – nous sommes friands de vous faire partager de nouvelles expériences. Les ateliers par approches croisées vous donnent des voies d’accès différentes, et sont l’occasion, pour les animateurs en formation continue, de vous faire profiter de leurs découvertes. Au programme, des vagues en musique et des propositions inspirées (tango, bio-danse, danse des 5 rythmes et autres… surprise!)

D’un point de vue pédagogique pur, il est évident que ce dispositif répond plus adéquatement à la réalité multi-profil de l’intelligence humaine. Les chemins d’apprentissage de chacun sont différents.

L’université Transurfing, on peut y revenir

Il n’est pas rare – et je m’en réjouis toujours – de voir des stagiaires revenir au résidentiel. Comme je les comprends : si l’esprit reste le même, le programme, le lieu, la thématique et les animateurs sont différents pour chaque édition. Ainsi qu’eux-mêmes. Venir ou revenir participer à un résidentiel Transurfing, au delà d’approfondir sa pratique, c’est aussi faire le plein d’humanité. On y rencontre de nouvelles et bien belles personnes, dont les compétences réunies mériteraient parfois à elles seules un sommet d’experts ! Engagés dans leur développement et ayant souvent accompli déjà un beau chemin, les groupes sont riches en ressources et généreux en partages. Ainsi, par les vécus forts, expérimentés ensemble, un maillage précieux se tisse, le réseau se renforce, qui nous portent tous deux et nous co-responsabilisent toujours davantage.

Parfois aussi, il y a un ou deux Observateurs. Ayant déjà accompli les quatre modules de base, ils reviennent participer à un groupe, dans le cadre de leur parcours de certification Transurfing.

A chaque édition, son écrin  – Une recherche inspirée, pas à pas

La recherche de notre lieu de résidence est toujours la première étape concrète de la préparation d’une édition. Cadrée par les nombreux paramètres et exigences liés aux conditions optimales dans lesquelles s’inscrit ce stage unique, ma recherche est aussi guidée par mes envies. Bien tiens ! Même si cela me demande du travail, année après année je fais l’expérience concrète d’être guidée durant cette recherche. Une petite fée confortablement installée sur mon épaule, je pars toujours de rien, avec Google qui me fait visiter des sites superbes, des environnements de rêve, des demeures et leurs jardins enchanteurs à en donner le tournis. C’est la 1ère étape, j’explore. S’ensuit un mail concentré, à une vingtaine d’adresses. C’est la 2ème étape, celle d’une présélection. Et j’attends. Toutes les réponses n’arrivent pas en même temps, je les étudie toutes et pousse plus avant mes recherches sur les deux ou trois lieux disponibles qui sont en résonance, ce que Clochette sur mon épaule me fait savoir avec clarté.

Ensuite il faut que je mette mes lunettes et ma casquette de comptable, pour voir si question budget et agenda, ça tient la route et si tous les critères de base sont bien réunis.

Un aller retour de questions/réponses et un appel téléphonique pour entendre, et me voilà devant le choix, c’est la troisième étape. Je pose l’intention et m’engage sur des dates et un lieu, par la signature d’un contrat, le versement d’arrhes, et la parution du stage sur l’agenda du C.T.F. Et en route pour une nouvelle aventure !

Oui, oui, les fées existent !

Trouver le lieu semblait plus difficile pour cette édition, un vrai challenge au vu des paramètres à prendre en compte :

  • Celui-ci devait à fois être particulièrement accessible au niveau du tarif – plus que jamais nous voulions être inclusifs et que les conditions de participation restent accessibles au vu de la situation économique actuelle, qui fragilise certains d’entre nous.
  • Mais aussi, dans l’intention de pouvoir ouvrir l’accès à plus de monde pour une édition que je co-anime exceptionnellement avec mon collègue et ami Gabriel de Launay de La Réunion, il me fallait trouver un gîte d’une plus grande capacité.
  • Enfin, les ateliers transversaux étant axés sur la danse, nous avions également besoin d’une salle digne de ce nom, avec un beau plancher, tout doux pour nos petits petons.

Malgré ces nombreux critères, ce fût fluide et évident. Ah, le flow !

Le Nid des Fées Joyeuses – La main heureuse

>> le Flyer avec toutes les infos

Non seulement ce gîte dédié – qui nous est entièrement réservé et dont le nom (même sans le « joyeuses ») à lui seul aurait presque suffit à me convaincre – correspond en tous points. Mais nous disposerons sur place d’une très belle salle – sur plancher – pour accueillir les vagues, les rythmes et les sons que nous y expérimenterons ! 

La demeure nous est entièrement réservée et nous y bénéficions de pas moins de 500 m2 d’espace en tout, d’un grand jardin et de la très belle nature environnante. Le Gardon quant à lui, n’est qu’à quelques pas de la maison.

La qualité de nos hôtes et l’énergie du lieu justifient le qualificatif providentiel des fées qui veillent sur ce domaine là. C’est comme un clin d’oeil supplémentaire, car c’est exactement ce que nous avons pour habitude de dire des personnes qui pratiquent le modèle Transurfing : de bien joyeux et léger co-créateurs, dont la puissance n’a d’égale que la responsabilité qu’ils manifestent à l’unisson dans leur vie et dans la création consciente de leur réalité.

Une dynamique puissante – Vous coacher et vous ânimer, c’est notre spécialité

Jeune Fille Confiant Portrait - Image gratuite sur PixabayAu départ, l’université Transurfing est un stage pluridisciplinaire, dont l’intention m’est venue parce que j’avais envie d’intervenir en co-animation au moins une fois par an. Aussi, les effets du résidentiel et de l’expérience humaine qui en est faite, est à ce point un amplificateur, qu’être plusieurs à encadrer des personnes dans ce genre de voyage, faisait sens. Dans ce type de contexte ou nous vivons très proches – même si chacun a son intimité et que la nature alentour et le programme permettent des espace/temps à soi – le chantier intérieur qui se déploie tout au long du séjour, n’est pas en pause hors sessions. Il est partout à l’oeuvre et en cela réside l’intensité ressentie. Aux universités Transurfing, les aimateurs-trices restent accessibles et partagent avec chacun-e ce vivre 10 jours ensemble dont ils exploitent les situations au profit de la dynamique du groupe, tout en permettant des échanges deux à deux stimulants.

Edition après édition, l’équipe change, en fonction des trajectoires de chacun-e, mais aussi en rapport au thème exploré.

Depuis un an et demi, je co-pilote le Centre Transurfing Francophone avec Gabriel de Launay, conférencier et animateur Transurfing, par ailleurs thérapeute, danseur et professeur de Tango depuis 25 ans.

Lorsque la danse s’est imposée comme thématique des ateliers transversaux (je suis « tombée » dans une pratique assidue de la danse des 5 rythmes pendant le confinement), j’ai évidemment songé à Gabriel : peut-être était-ce là une occasion unique pour nous de co-animer et de permettre aux transurfeurs d’explorer aussi avec lui le tango, depuis le temps qu’on en parle. Les bienfaits qu’il procure et ses nombreux parallèles avec Transurfing (notamment en terme de co-création et de frailing) sont étonnants. De plus, Gabriel étant lui aussi un pédagogue passionné, à deux nous allions pouvoir accueillir et encadrer un plus grand groupe ainsi que nous donner les moyens d’une dynamique amplifiée, pour certains exercices.

>> Joindre Gabriel de Launay

Un programme surprise, dans l’équilibre

Il est volontaire que vous ne connaissiez pas à l’avance les détails du programme. Sachez toutefois qu’une pause pédagogique est prévue à mi-parcours et que certaines des propositions en soirée sont optionnelles, afin que vous puissiez vous reposer d’avantage si le besoin s’en fait sentir.

Martine et ses délices

Martine Derroja | Zero GravityPenchons-nous un instant sur les nourritures terrestres, sans la qualité et la finesse desquelles il manquerait quelque chose d’important à la réussite de vacances de développement. Dix jours quand même ! Ici aussi ma fée m’a dûment accompagnée. Alors que j’allais de refus en refus, les personnes que l’on me recommandait n’étant pas disponibles, j’ai continué à envoyer ma demande au fur et à mesure que j’étais en contact avec l’une l’autre de mes connaissances à qui je demandais de me recommander quelqu’un qui… Sans stress et toujours portée par la croyance (et donc l’expérience) que, marchant sur un chemin de facilité, tout allait se mettre en place. Evidemment. Avant-hier j’ai eu la joie d’une belle conversation avec Martine, et d’une rapide confirmation mutuelle, le courant faisant plus que passer entre nous et nos projets respectifs. Je suis très heureuse d’avoir eu, encore ici, une main bien heureuse !

>> ICI découvrir la cuisine de Martine Derroja

Non seulement, Martine fait de la cuisine pour les groupes sa passion, mais elle en a une grande expérience. Elle a, en outre, bien des talents et outils pour accompagner les autres, métier qu’elle a exercé par ailleurs. Comme toujours pendant les résidentiels, il n’est pas dit que des conversations clés n’auront pas lieu en cuisine ! N’est-ce pas le dernier salon où l’on cause ?

Des tarifs volontairement bas

Il était question de tirer, pousser, tout en restant exigent sur la qualité, afin que la participation pour le stage et les frais de l’hébergement en pension complète restent raisonnables. Notre intention au niveau du Centre Transurfing Francophone est de pouvoir accompagner le changement qui s’est amorcé, et nous avons conscience que les bouleversements qu’il occasionne toujours, peuvent déforcer économiquement certaines personnes, que nous souhaitons pouvoir également accompagner.

Ainsi le prix du stage a été fixé à 1.100 euros pour 9 jours complets de formation (arrivée le 11  octobre en fin de journée et départ en fin de matinée le 21.) En plus du trajet de base (sessions 1 et 2, soit 8 jours de formation dont le tarif en formule weekend est à 1.350), cette université Transurfing inclut en plus des ateliers transversaux.

En ce qui concerne l’hébergement, le prix par personne est décroissant en fonction du nombre de personnes. Nous avons choisi de vous faire bénéficier de cet avantage. Ayant fixé le montant maximum que vous aurez à payer pour votre séjour nous nous engageons à vous reverser entièrement l’éventuelle différence.

Voir plus bas les liens vers les informations pratiques et les modalités d’inscription

Musique Maestro !

Il manque un seul mot à cette présentation détaillée de la 7eme édition de l’Université Transurfing. Qui dit danse dit aussi musique, n’est-ce pas ?

S’il y aura des temps de calme, de silence et de méditation, une musique dédiée et de bons sons accompagneront nos séquences de danse, pour pouvoir réveiller tous nos sens et, en chacun-e de nous, le chaman qui sommeille.

Voilà, on attend plus que vous pour embarquer dans ce nouveau voyage Transurfing !

Si le monde est bien notre miroir et qu’aujourd’hui, il peut parfois nous apparaître disfonctionnant, malade, en danger voire dangereux, l’espace des variantes dispose d’un nombre infini de variantes potentielles pour son avenir. Soyons de ceux qui y projettent notre joie, notre responsabilité et qui lui impulsons avec puissance et alignement, la juste direction.

>> ICI le flyer avec toutes les informations utiles

>> ICI Modalités et formulaire d’inscription (contactez-moi avant de vous inscrire)

Merci de m’avoir lue, je reste à votre disposition pour toute question et suis impatiente de vous retrouver bientôt,  pleine forme pour insuffler à ce résidentiel que j’adore animer, une toute belle dynamique ! Vous accompagner, est ce qui participe de faire de ma vie une célébration. Merci pour cela et une affectueuse pensée aussi à mes anciens stagiaires, auxquels je reste toujours connectée par le coeur.

Votre dévouée, dansante,

Tati Clara


Les 54 meilleures images de citations Gandhi | Citation, Gandhi ...Gandhi "Sois le changement que tu veux voir dans le Monde" (avec ...

Un petit clin de coeur à Gandhi quand même, qui avait si bien intégré le principe du monde miroir, comme en témoigne sa vie et sa célèbre citation ; mais aussi parce qu’il nous invite à apprendre à danser sous la pluie. L’expérience de la danse comme outil naturel d’équilibre, d’homéostasie, d’expression, de guérison, de résilience, de libération, de centrage, d’ancrage, d’alignement, de connexion, de conscience, de joie, d’estime de soi, de santé, de vitalité… – je suis certaine d’en oublier – est une merveille ! Simplement, danser. Qui a dit que ça devait être difficile ou désagréable ?

 

Disponible ce lundi 22 juin à 20h30 pour échanger autour de Transurfing (en ligne) ?

Retrouvez-moi pour une Rencontre avec la Communauté de l’Abondance !

>> ICI le REPLAY

et jeudi soir (le 25 juin, à 20h) pour un atelier d’écriture en ligne (voir les infos plus bas)

« La réalité se passe en dehors de vous, jusqu’à ce que vous y croyez… » Vadim Zeland

Le vent du changement s’est levé. Comment allez-vous y participer ? Se responsabiliser chacun-e aujourd’hui face à la réalité collective et oeuvrer à la transformer, de façon musclée, semble être urgent. Pourtant, Transurfing considère que c’est loin d’être la priorité : selon les principes de la physique quantique dont s’inspire ce modèle comportemental de réalisation individuelle (best-seller écrit par le physicien quantique russe Vadim Zeland), la réalité se con-forme pour chacun selon ce qu’il y projette (consciemment ou non), c’est un des ses principes : « Le monde est mon miroir ». L’urgence serait donc plutôt de mettre sur soi le focus et de commencer par transformer sa réalité individuelle, en apprenant à la diriger consciemment vers des « lignes de vie » où sont déjà manifestes les aspirations spécifiques de l’âme unique de chacun-e. Lorsque suffisamment d’individus vivront/vibreront dans l’harmonie, l’abondance et la joie et qu’ils pourront s’exprimer pleinement dans le monde, celui-ci basculera vers une réalité collective en résonance. C’est physique pas philosophique !

Passionnée de Transurfing que je transmets depuis dix ans, je suis heureuse de vous rencontrer ce lundi 22 juin à 20h30 au sein de la Communauté de l’Abondance, pour vous relayer le message de Vadim Zeland: oui, vous avez du pouvoir sur votre réalité. Et pas qu’un peu !

-> Comment interagissons-nous vraiment avec la réalité ? Vous aussi, vous aimeriez apprendre à diriger la vôtre ?

-> Avez-vous toujours pensé, voulu ou même cru que votre destinée était en partie dans vos mains? 

-> Autonomie, pouvoir et responsabilité sont des mots qui résonnent pour vous ?

-> Réaliser votre pouvoir créateur génère une joie et une confiance en soi et en la vie, profondes et durables – Venez-y goûter dans cette Rencontre.

-> A la lumière des principes de Transurfing, le rapport à l’effort se transforme : plus on avance dans cette pratique, plus dynamisme, motivation et énergie sont au rendez-vous. Vous allez être inarrêtables !

Transurfing a déjà permis à des dizaines de milliers de personnes dans le monde de transformer leur réalité. Si vous ne connaissez pas encore ce modèle auquel je vous propose de vous introduire, notez bien : ce rendez-vous avec Transurfing pourrait être le début d’une aventure déterminante pour vous !

Atelier de développement de soi par l’écriture – En ligne, le jeudi 25 juin à 20h30 (Paris)

J’ai le plaisir d’animer un atelier d’écriture en ligne, suite à cette Rencontre !

>> INFOS & INSCRIPTIONS

Selon les principes de Transurfing, nous sommes chacun créateur des notre réalité. Dans cette posture de responsabilité on accède au pouvoir de la changer, d’en choisir une autre. C’est aussi simple que ça ? En principe, oui, mais encore faut-il le faire en toute conscience et liberté. C’est la posture de l’Observateur. Or, une grande part des comportements, habitudes, valeurs, réactions, sont le fruit d’un conditionnement passé qui empêche d’être vraiment soi et de se réaliser pleinement.

Dans cet atelier, où c’est l’écriture qui joue le révélateur, nous accédons à la part inconsciente en nous dans le but de l’éclairer, de participer à plus d’alignement entre les différentes parties de soi et de développer la puissance et le leadership de l’Observateur (« l’aimant » quantique en chacun-e de nous).

Laissez-vous (sur)prendre par votre plume ! Des consignes ludiques, des partages, des prises de consciences : surprenant et accessible à tous, cet atelier vous permettra aussi de découvrir que tous, nous écrivons bien !

    • Choisir ma réalité ? Mais qu’est-ce que je veux en définitive pour ma vie, que choisir ? 
    • Je me sens prisonnier d’une réalité que je n’aime pas, de situations qui reviennent sans cesse, de blocages ? Que faire ? Comment transformer ces schémas limitants qui pilotent ma réalité dans l’ombre de l’inconscient ? 
    • Comment mobiliser mes ressources, me sentir motivé-e, avoir plus d’énergie ? Comment manifester et obtenir de l’Univers qu’il me facilite les choses sur le chemin de mes buts ?

Si vous vous posez ce genre de questions et/ou, que vous développer en conscience est une de vos priorités, je vous invite, dans ce voyage créatif d’écriture, à une rencontre avec vous-même, en puissance.

J’insiste sur le fait qu’il ne s’agit en rien d’un atelier littéraire : même si de très beaux textes en sont souvent le résultat, ce n’est pas le but recherché. Si vous êtes de ceux qui croient « je ne sais pas écrire » venez ! Votre croyance – et donc votre réalité – pourraient en être transformées…

Les 3 essentiels que vous pourrez expérimenter au cours de cet atelier :

-> Expérimenter l’écriture en atelier comme outil puissant de connaissance et de développement et de vous

-> Vous offrir le plaisir de l’expression de soi et la détente qu’elle procure

-> Faire évoluer votre rapport à l’écriture

La participation aux ateliers de la Communauté de l’Abondance est de 30 euros (gratuit pour ses membres) >> INFOS & INSCRIPTIONS

(il est possible que l’atelier ne soit pas encore affiché sur la page ! Si vous êtes inscrit à la Rencontre, vous recevrez automatiquement une invitation pour l’atelier)

Un grand merci à Caroline Aubert pour cette double invitation à vous rencontrer pour vous partager deux de mes passions, Transurfing et l’écriture, et au grand plaisir de vous retrouver pour ceux et celles d’entre vous que je connais déjà et qui seront aussi au rendez-vous !

Merci de m’avoir lue et de me suivre, je vous dis à ce soir et vous souhaite d’ici là une merveilleuse journée.

Votre bien dévouée

Tati Clara

Ps : Les inscriptions viennent d’ouvrir pour la 7ème édition de l’université d’automne Transurfing,  >> ICI toutes les infos 

Un long article pour vous présenter les détails de cette édition spéciale à plus d’un titre, est en cours de rédaction. Si vous êtes inscrit-e sur ma newsletter, vous le recevrez en priorité !

 

 

Créer sa réalité : de l’art de l’Adaptation

Ces temps – pour le moins mouvementés, que nous vivons actuellement et qui appellent le changement de tous côtés et dans tant de secteurs de notre vie avec la force de circonstances anxiogènes présentées comme « cataclysmiques » et aussi imprévisibles que confuses -, ce contexte surprenant qui nous oblige à changer nos comportements d’êtres sociaux, qui demande à nos projets de simples ajustements ou d’en presque tout modifier, nous empêchant de planifier, de contrôler, d’aller, d’agir, d’aimer à notre guise… comment les vivons-nous ? Comment ces réalités nous impactent-elles, comment réussissons-nous à nous (y) ADAPTER ?

Quelle forme prendra vraiment le monde de demain ? Comment participer de la manifestation d’une réalité commune qui aille dans le sens d’un changement profond pour un réel mieux  : santé, paix, sécurité, abondance, éducation, …. pour tous !?  Mais que sommes-nous prêts à faire ou à ne plus faire/dire/croire/… pour opérer ces changements ? Le changement fait peur à l’esprit (mental/ego pour Transurfing) et cela tient à son fonctionnement : il est très fort pour opérer et gérer… ce qu’il connaît mais nul et inadéquat pour envisager les situations nouvelles qui appellent une gestion préfrontale. Savoir s’adapter, c’est tout un art !

Si je vous dis les mots adaptation ou s’adapter, une partie de vous fait-elle immédiatement la moue ? En avez-vous un peu marre qu’on vous demande de vous adapter ? aux autres, aux circonstances, au final à tout, chose que l’Homme a dû et su faire bon an mal an au cours de son évolution. En effet, c’est de cette capacité d’adaptation (la résilience en fait partie) que nous tirons notre progression «remarquable » en tant qu’espèce.

Pourtant, les termes s’adapter et adaptation peuvent aussi évoquer quelque chose de l’ordre de la défaite, de la perte de pouvoir, voire de la soumission. Voyez dans les relations humaines. Quel est celui qui s’adapte et celui qui campe sur ses positions ? Qui a de la souplesse de caractère et quels sont ceux qui imposent aux autres leurs humeurs, leurs caprices – et donc leur loi ? Ainsi faire preuve d’adaptation peut équivaloir, du point de vue de l’esprit, à endosser le rôle du soumis, du perdant, du petit.

Aussi, sur un chemin de développement de soi, s’il peut être tout à fait pertinent de passer par des périodes où la libre détermination de soi passe par l’expérimentation nouvelle de l’expression de nos limites, par la prise considération et le partage de nos besoins, par la défense de nos droits et opinions, ce n’est qu’une étape ! L’ego, momentanément se renforce, et c’est un stade souvent nécessaire pour qui s’est laissé engluer par des schémas mentaux et affectifs où il/elle a du mal à occuper sa place dans le groupe et se manifester librement dans le monde. Donnez un peu de voix et/ou apprendre à « grogner », parfois le chemin passe par là. Mais, lorsqu’un nouvel équilibre est atteint, que plus d’assertivité ont permis envers soi une loyauté de base et une estime de soi plus stable, il est éminemment utile de progresser vers l’expression d’une autorité personnelle plus discrète, plus tranquille, et de ne pas rester chatouilleux en ce qui concerne les évaluations que font les autres, de lâcher urgemment les débats d’opinion et autres exemples d’un ego bien trempé, faute de quoi il va se renforcer, (se) camper de plus en plus et nous voilà enchaîné-e à nouveau par les fils de l’importance de soi (et vidé de notre énergie par ces potentiels en excès): « C’est mon avis, je suis comme ci, je suis comme ça, si ça ne vous plait pas… !  » Mais là n’est pas ni la force véritable ni la grandeur, ni définitivement la posture propice au changement que nous disons vouloir.

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Coronavirus : Applaudissons-nous !

Chronique de Tati Clara – Bruxelles, 18 mars 2020

Hier, à 20h s’élevaient dans l’air des applaudissements. Cette première, même timide, a marqué l’envoi d’un rituel quotidien, auquel chacun est invité à se joindre, pour remercier le personnel soignant qui œuvre d’arrache-masque en première ligne dans le contexte actuel de crise sanitaire que nous vivons :

A 20h précises, sortez au balcon, à la fenêtre, dans votre jardin ou sur le pas de votre porte et applaudissez, applaudissez-les pour leur signifier votre reconnaissance et vos encouragements. Tel est le mot d’ordre.

N’y a-t-il qu’eux qui méritent nos applaudissements, vraiment !?

Hier, je n’y étais pas. C’est qu’on en a des choses à faire en ces temps mouvementés. Entre l’appel du Pape à se joindre à une prière collective à la même heure, mes copines pour qui un Skype collectif était soudain devenu urgent malgré les milliers de messages échangés dans notre groupe whatsapp, mon cours de Pilates en Visio conférence, mon Père avec qui je joue par sms à une sorte de MasterMind de mots, les nombreux mails qui attendent dans ma boite, les Visio conférences à planifier pour rester en contact avec mes stagiaires parisiens malgré l’annulation de notre weekend de travail, la liste de personnes isolées que je connais et à qui je voudrais passer un appel, les idées solidaires à mettre en place qui me traversent, la nécessité en tant que Co-Pilote du Centre Transurfing Francophone d’écrire une newsletter d’éclairage de cette crise du point de vue de Transurfing, j’en passe et beaucoup…, j’ai raté le coche – ainsi que beaucoup d’entre nous.

Le mouvement va s’amplifier, soutenu par les réseaux sociaux

Soyons des leurs à 20h précises ce soir pour applaudir

Pour ma part ce sera, certes, pour remercier le personnel soignant, c’est plus qu’évident. J’applaudirai, fort et longtemps, mais ce sera AUSSI pour manifester ma gratitude, ma solidarité et mon soutien à beaucoup d’autres personnes :

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Le « frailing » de Transurfing : quand la vraie force vient de l’amour

Il y a, au coeur du modèle de réalisation quantique individuelle de Vadim Zeland un principe que l’on découvre relativement tard dans le livre, et qui apporte à l’oeuvre une dimension spirituelle qui nous ravit, littéralement : je veux parler du fraile et du frailing.

Passé le siècle des lumières et du diktat de l’esprit, avec Transurfing et les nouveaux paradigmes dans lesquels ce modèle comportemental hollistique s’inscrit, voilà l’être humain en interaction avec le Tout au départ d’un coeur « aimant », et doté de pouvoirs extraordinaires lorsqu’il trouve les moyens d’une parfaite collaboration intérieure âme, esprit, intention. Place aux aspirations de l’âme au service de la réalisation desquelles le mental/ego se met – on l’appelle l’esprit dans la modèle Transurfing. Ainsi nous apprenons comment le cadrer, l’apaiser, mais aussi on lui apprend à se nourrir directement à la source, lorsqu’il est en lien avec l’âme. Ce qui diminue avantageusement sa parfois tragique dépendance par rapport à des nourritures extérieures qui l’asservissent et renforcent ses importances, nous ôtant, à nous, toute possibilité de libre arbitre. La voie à un esprit fort, intentionnel (je dirais presque volitionnel) est tracée.

Toute cette énergie récupérée peut maintenant servir des causes plus grandes, des objectifs plus justes, des projets plus inspirants, et Dieu sait combien il est fort l’esprit dans ces conditions. Alerte, aiguisé, persévérant, il sait mieux qui est son véritable Maître et les challenges, loin de l’effrayer, le portent autant qu’ils le stimulent. Il s’épanouit dès lors, lui dont on a besoin pour concevoir concrètement ce qui nous inspire et traduire/réaliser les désirs de l’âme dans la matière.

On sort ainsi avec Transurfing d’une plus récente mouvance où ne (plus) rien vouloir serait devenu l’apanage des sages… ce qui équivaudrait presque à ne pas se servir de l’esprit – de laisser au garage un superbe bolide – et quel dommage !

Sans plus ignorer les fonctions, prérogatives, besoins et talents et inspirations spécifiques de l’âme et de l’esprit, la proposition de Zeland est magistrale qui leur redonne à tous deux leur juste place/fonction dans notre système intérieur. C’est lorsqu’ils sont « alignés » sur une destination, avec une détermination interne à agir dans le sens de ce but, que peuvent se créer les conditions parfaites pour que l’intention externe intervienne pour faciliter les choses. Encore faut-il y croire, c’est à dire être tout autant déterminé à recevoir qu’à agir. L’intention externe pour Zeland c’est Dieu. Traduisez l’Univers, l’énergie, les anges, mon petit frère au ciel, le hasard, ou tout ce que vous voudrez et qui représente pour vous cette force qui jaillit de l’invisible et crée les synchronicités, les opportunités, les dénouements heureux, les miracles. Vous savez, c’est quand vous êtes dans le flow, que tout se met en place tellement facilement. Comment obtenir cet alignement de l’âme, de l’esprit et de l’intention, dont tout dépend ? La clé c’est la posture de l’Observateur, lequel joue le rôle d’interface entre ces deux pôles, entre la force yin inspiratrice de l’âme et celle définitivement yang de l’esprit. Car sans l’Observateur, pas de communication possible entre eux, ils ne parlent pas du tout le même le langage.

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