Archives mensuelles : juillet 2015

6/7 – Université d’été Transurfing : stage d’intégration pluridisciplinaire, présentation du trajet Transurfing animé par Claire van Gheluwe

Le trajet d’intégration Transurfing Jura 2015 – du 10 au 19 août – est un stage résidentiel pluridisciplinaire de réalisation individuelle, dont le but est de vous permettre d’intégrer agréablement et durablement le fabuleux modèle quantique de Vadim Zeland, par des approches variées sollicitant tous les canaux d’apprentissage et tous les niveaux de l’être et de la conscience. Des ateliers pluridisciplinaires éclairant les quatre modules Transurfing, dont Claire nous parle dans cet article.

DSC03135[1]S’intéressant de près aux mécanismes d’apprentissage et à l’animation, philosophe dans l’âme et intuitive, Claire ajoute à son talent de la transmission un accueil positif, chaleureux et patient, une clarté de langage et une dose d’humour dans ses animations de groupes. Passionnée des êtres humains comme du modèle Transurfing, elle arrive à accompagner chacun sur le chemin d’apprentissage et d’évolution qui est le sien tout en veillant à laisser à l’autre la pleine responsabilité des changements à mettre ou non en place à la suite des prises de consciences sur ce même chemin. Elle ne laisse personne sur le bord de la route, mais chacun avance à son rythme, sans jugement.

Q : Quelles sont les spécificités de ce trajet Transurfing amélioré, Claire ?

La formule résidentielle et pluridisciplinaire est selon notre expérience la façon idéale d’approcher le modèle et de l’intégrer durablement. L’intégration d’un apprentissage est un processus très complexe qui ne dépend pas uniquement de notre volonté consciente. Au fil du temps, nous avons développé et affiné ce trajet « pluri », afin de permettre aux participants d’apprendre à travers plusieurs canaux et au départ des différents niveaux de l’être et de la conscience, pour que chacun puisse véritablement intégrer le modèle et incarner le changement auquel il aspire. Ce trajet est fort et intense, la différence entre l’avant et l’après est palpable, les participants font bouger leur réalité avec une facilité déconcertante suite à leur implication dans ce stage.

Q : D’où ton slogan « Nous déclinons toute responsabilité en cas de transformations majeures suite à votre implication dans ce stage» !?

Oui ! Notre équipe de coachs a souvent été interpellée au sujet de l’intégration et je reçois régulièrement des mails de personnes me disant avoir découvert Transurfing, ce modèle comportemental métaphorique qui semble si évident, avec beaucoup de joie et d’espoir, mais ne sachant pas comment l’appliquer concrètement dans la vie. Après un « tilt », suite à la lecture d’un des livres ou la compréhension des principes par des témoignages et vidéos, c’est comme si le mental conditionné reprenait ses droits sur la personne. Réfractaire au changement, il a besoin de vivre les choses pour les comprendre (= prendre avec) profondément, se laisser réactualiser dans sa vision et son vécu des choses et produire de nouveaux comportements et réalités. C’est pourquoi ce mode pluri (plusieurs ateliers, plusieurs coachs, plusieurs approches) est tellement efficace.

Q : L’intensité dont tu parles peut faire peur à certain…

Merci Benoît de me permettre de clarifier ça. Que ceux auquel le mot intensité fait peur se tranquillisent. Tout au long du séjour, ce qui est intense c’est de sentir en soi et chez les autres une vibration nouvelle qui émerge des profondeurs de l’être. Certains exercices sont parfois confrontants et nécessitent des sorties de zone de confort certes, mais on est au 3ème millénaire tout de même et le travail se fait en total respect de l’écologie de chacun. Dans une vision à la fois très humaniste et quantique des choses, nous considérons pour acquis que tout existe, que tout est juste et que chacun sait pour lui-même ; ce stage est un laboratoire vivant, une superbe occasion d’exercer un réel libre arbitre. La subtilité, l’enchaînement progressif et la finesse des processus, font qu’il suffit de s’y impliquer et de se laisser traverser par la tendance réactualisante, ensuite le travail se fait tout seul.

L’intensité dont je parle est aussi l’écho d’une grande aventure humaine. C’est ça le résidentiel. Un groupe d’adultes, bienveillant et engagé à évoluer, qui partage une aventure en vase clos, dans un environnement naturel. Ce sont quelques jours en dehors de la réalité habituelle, quelques jours qui peuvent s’avérer déterminants, comme une traversée sur un bateau. C’est pourquoi jamais pour moi auparavant le mot « trajet » n’aura pris sa pleine signification comme c’est le cas dans cette formule résidentielle, cette année encore au chalet le Jura, gîte confortable et très convivial, entouré de nature en veux-tu en voilà !

Q : Tu m’as annoncé il y a peu qu’il y aurait un intervenant surprise, cela fait monter à 7 le nombre des coachs formateurs. Que peuvent retirer les participants de leur présence ?

Oui, je suis heureuse d’avoir reçu la confirmation de l’intervention de mon ami et collègue Christophe-Pierre Fleurat, son apport est une très grande chance pour le groupe ! D’ici peu j’aurai le plaisir de vous en parler davantage. Bien entendu, tous les coachs ne resterons pas pendant tout le séjour mais j’insiste ici sur la richesse pour les participants de recevoir Transurfing dans des perceptions variées. Nous sommes tous différents et uniques ! C’est pourquoi une construction mentale et des ressentis inspirés par différentes sensibilités, sont la plus belle garantie d’intégrer profondément les nouveaux apprentissages, chacun comprenant les choses à sa façon, selon sa réalité, ses besoins et spécificités. Re-ce-voir de plusieurs coachs formateurs, les rencontrer, échanger et partager avec eux, c’est ça aussi le pluridisciplinaire !

Q : Veux-tu nous parler du décloisonnement que tu prônes et de l’esprit dans lequel s’inscrit le travail ?

Lorsque j’ai fait mon propre trajet, il y quatre ans déjà, c’était dans la formule en quatre week-ends. Nous étions très nombreux (18 si je me souviens bien) et une des règles de fonctionnement, compréhensible vu la taille du groupe, était « pas de questions pendant les pauses ». Je n’ai pas aimé cela, ce cadrage s’est avéré trop étroit pour moi et pas du tout assez humain à mon goût. C’est la troisième année que j’organise un résidentiel d’été. J’y prône en effet le décloisonnement parce que j’ai fait l’expérience que des prises de conscience ou des déblocages majeurs peuvent subvenir suite à un échange entre deux portes, dans un instant de grâce souvent « hors session ».

Pour moi le modèle académique est bien révolu. L’un pour l’autre nous sommes tantôt des messagers, tantôt des miroirs ou simplement des réceptacles pour accueillir et soutenir la formulation de l’ « Eureka ! » d’un autre. Frères et sœurs en humanité, nous grandissons mieux et plus en cheminant ensemble certains que – de toute évidence – il n’y a plus d’un côté les professeurs et de l’autre les élèves. Tous capables, tous « sachant », chacun tour à tour nous enseignons et sommes enseignés, de telle façon que la vie en nous traversant de façon plus fluide nous élève et trouve sa juste manifestation.

Nous avons tous à nous délivrer de(s) choses précieuses l’un l’autre ; le quand, le avec qui et le comment ça se produit ne nous appartiennent pas. Il n’est pas de notre ressort de prévoir comment se présentera la pièce manquante pour intégrer et manifester la vision nouvelle ; pour créer de nouvelles réalités, notre rôle est juste d’ouvrir nos esprits pour créer un espace de tous les possibles et de vibrer au niveau du cœur pour recevoir plus grandement.

C’est depuis cette dimension créatrice dont le cœur est la porte que nous réaliserons (rendrons réelle) par ce stage la pleine célébration de notre existence.

Q : Un dernier mot pour ceux qui hésitent encore à s’inscrire ou qui pensent que c’est trop tard à 10 jours du début du séjour ?

Qu’ils n’hésitent plus, qu’ils se jettent à l’eau même si leur mental les freine encore… S’ils se trouvent devant cet article questionnant leur éventuelle participation, pour moi il n’y a pas de hasard ! S’il reste encore des places dans ce groupe (limité à 12 personnes pour la garantie d’un travail en profondeur), c’est peut-être que c’est leur place que l’Univers a réservée dans ce groupe, en réponse à leur volonté d’évolution, de liberté et de changements J

Ces derniers mois il est souvent question du temps qui s’accélère. Ce qui est était vrai hier ne l’est souvent plus aujourd’hui, cela met le besoin de contrôle et de planification de notre mental dans l’inconfort. Pour progresser aujourd’hui il nous est demandé à tous de manifester une grande souplesse face à ces réalités mouvantes et d’apprendre à nous (re)positionner rapidement pour saisir les opportunités. Plus que jamais il nous est demandé de sentir d’où vient le vent en temps réel pour pouvoir surfer sur la vague du succès.

Je reste à votre disposition pour toute question, n’hésitez pas à me contacter par mail taticlaramail@gmail.com ou par téléphone au +32 499 24 01 44 (à partir du 1er août) pour en parler.

>> ICI toutes les informations sur le stage de développement et d’intégration pluridisciplinaire proposée à l’Université d’été Transurfing, dans le Jura français, du 10 au 19 août 2015

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L’☼ vous va SI bien !

Au plaisir de vos commentaires et partages et à très bientôt pour la suite : un interview de chaque formateur et de son atelier dans les semaines qui viennent ! Vous les recevrez automatiquement, en vous inscrivant sur mon blog. Merci de votre fidélité 

 

5/7 – Université d’été Transurfing : stage d’intégration pluridisciplinaire, présentation de l’atelier ROUE MEDECINE DES INDIENS HOPIS animé par JEF MAYORAL

J’ai le plaisir aujourd’hui de vous présenter et d’interviewer cette semaine Jef Mayoral. A la fois coach et formateur, il est aussi l’hôte attentif et talentueux du chalet le Jura qui accueille l’université d’été Transurfing pour la deuxième année, avec le trajet d’intégration pluridisciplinaire, du 10 au 19 août 2015.

Photo JefActuellement coach de vie et pour la préparation mentale des sportifs, Jef est sophrologue et praticien en respiration consciente. Il est aussi formé à l’Université de la Paix de Pierre Weil au Brésil, au biomagnétisme humain, au chamanisme… et j’en passe. La roue médecine des indiens Hopis a été un tournant déterminant dans sa vie et un précieux outil pour le transurfeur convaincu qu’il est. Il nous partagera cet outil hollistique lors d’un passionnant atelier.

Q : Après un riche parcours toi aussi, tu as découvert l’approche comportementale Transurfing. Que s’est-il passé pour toi depuis Jef ?

J’ai découvert Transurfing 1 an 1/2 avant de faire le premier résidentiel d’été au chalet le Jura. Ce jour-là, j’ai dit c’est ce qu’il me faut ! Depuis les synchronicités n’ont jamais cessé et je vis vraiment une belle histoire. Transurfing est dans l’air du temps, je remarque autour de moi que le monde manque de repères et c’est souvent la perte du sens de la vie qui perturbe notre existence. 

Q : Vadim Zeland insiste sur l’absolue nécessité pour le créateur quantique de veiller à son bien-être physique et vibratoire, notamment via une pratique respiratoire. Transurfing n’est pas pour autant une approche corporelle. La roue médecine des indiens Hopis que tu nous proposes de découvrir dans l’atelier que tu animes, favorise-t-elle cette précieuse santé vibratoire ?

Quand j’ai fini ma formation en respiration consciente en 2006, je m’étais projeté 10 ans plus tard comme coach de vie. 

Je cherche avant tout une approche holistique de la vie, j’ai trouvé cela avec Pierre Weil, un des précurseurs en psychologie Trans-personnelle et plusieurs années plus tard avec Michèle Burdet, chamane qui m’a initié et fait découvrir la roue médecine des indiens Hopis. Cette approche permet de tenir compte des 4 aspects de l’être humain (physique, mental, émotionnel et spirituel). Pour moi il n’y en a pas un plus important que l’autre mais chacun doit remplir son rôle … La roue médecine favorise l’autonomie de la personne et nous indique également que nous avons toujours le choix. Les hopis avaient déjà cette connaissance globale du monde qu’ils ont su conserver et que nous les occidentaux avons perdue. Mais l’histoire ne s’arrête pas là et l’aventure continue. 

Les pratiques respiratoires favorisent le bien être dans sa globalité, tous les matins je pratique une méthode simple qui prend quelques minutes et cela a changé ma vie. J’arrose le tout avec des belles intentions internes et depuis les intentions externes viennent frapper à ma porte. 

Q : Tu me disais avoir été initié au chamanisme mais préférer ne pas être présenté comme « chamane ». Reconnaissant là la belle simplicité et l’humanisme qui te caractérisent, serais-tu de ceux qui pensent que nous le sommes tous, chacun à notre humble niveau ?

Souvent je dis que si je suis chamane alors on l’est tous un peu, ou alors personne ne l’est. Je sais faire le pain mais ne suis pas boulanger. Le chamanisme est avant tout pour moi un outil. Alors après, en coaching on dit qu’on n’utilise pas l’outil, qu’on est l’outil… Je vous laisse avec ça.

Q : Pendant le stage tu seras formateur et coach, mais tu es également notre hôte et le maître aux fourneaux, menant au chalet le Jura un bien beau projet. Veux-tu nous parler de cette casquette-là ?

En 2001 alors que je me retrouve hospitalisé pour un problème de santé qui n’a jamais pu être diagnostiqué, le médecin vient me voir, s’assoit à côté de moi et me dit : « Monsieur Mayoral, on a rien trouvé, si j’étais à votre place, je prendrais des chèvres et j’irais vivre à la montagne. » Ça a été un déclic ! Une fois rentré à la maison j’ai acheté des petites chèvres, des poules, un coq et je suis partie à la recherche d’un gîte sur les montagnes du Jura, c’était mon rêve de gosse !

Je vous passe les détails mais l’histoire est digne d’un joyeux transurfeur. Le chalet m’attendait et depuis, j’ai pu mettre en place une belle activité dont l’accueil des groupes en développement personnel, mais aussi des randonneurs sur la grande traversée du Jura. On y fait souvent des belles rencontres, la dernière en date c’est Viviane, 73 ans qui fait le tour de France en autonomie avec un cheval et une mule.

Q : La pratique de la roue médecine des indiens Hopis favorise l’autonomie, voilà qui est séduisant et tout à fait dans l’esprit Transurfing. Peux-tu nous en dire plus sur l’atelier ?

Je propose de partager mes connaissances de cet outil dont la découverte fut un véritable tournant dans ma vie. Il sera question de découvrir le sens de la roue médecine, comment le mettre en pratique dans la vie au quotidien et comment établir des ponts pour une meilleure intégration de Transurfing et d’autres enseignements (esséniens) que je rejoins et qui se rejoignent complètement. Tout cela participe de la fameuse bonne vue de l’aigle…

Merci Jef, je suis heureuse que tu fasses partie de notre équipe de formateurs et ravie de revenir au chalet le Jura, que d’apprentissages, d’alignements et de précieux moments de vie (dont les délicieux repas ) en perspective ! En un mot je dirais : qu’il est bon d’être ensemble chez toi, merci de nous y accueillir.

>> ICI toutes les informations sur le stage de développement et d’intégration pluridisciplinaire proposée à l’Université d’été Transurfing, dans le Jura français, du 10 au 19 août 2015

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L’vous ira bien !

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Votre dévouée, Tati Clara