Archives mensuelles : janvier 2018

– Trouver le moyen de neutraliser le stress : un enjeu majeur

Est-il nécessaire de vous démontrer qu’à notre époque nous avons tous à négocier avec le stress ? Si celui-ci est hautement délétère pour la santé physique, il l’est tout autant pour la clarté mentale, limitant nos aptitudes à répondre à la vie et à créer les réalités auxquelles nous aspirons. Du point de vue de Transurfing, modèle comportemental du physicien quantique Vadim Zeland, la manifestation du stress est l’expression du désalignement qui se produit lorsque, de l’Observateur – posture éclairée – nous glissons en mode guerrier, offensé ou demandeur, en réaction à une situation qui nous confronte : besoins non assouvis, valeurs bafouées, voilà l’importance qui montre son nez et s’exprime dans le corps par la gorge nouée, le plexus serré, le ventre ou les poings serrés, la voix qui s’effiloche… Trouver les moyens de neutraliser le stress est un enjeu majeur pour tout apprenti créateur de réalité.

Je suis frappée de ce que quasiment une offre d’emploi sur deux aujourd’hui, parle de résistance au stress comme compétence requise. Vouloir résister au stress n’est pas comprendre sa véritable nature, comme nous allons le voir. En outre, cette stratégie ne fait que le renforcer, selon la maxime bien connue.

A part un des principaux maux du siècle, le stress qu’est-ce que c’est ?

Du point de vue du corps, un véritable poison, je ne vous apprends rien. Cortisol dans le rouge, vos jolies petites cellules s’oxydent à vive allure. Vous voilà intoxiqué et plus que jamais exposé et rendu peu capable de résister aux inflammations et autres agressions. Y résister, dans le cadre d’une lecture Transurfing, équivaut également à ignorer le message qu’il nous envoie. Rien en soi n’est réellement stressant, exception faite des situations où il y a danger pour l’intégrité physique. Je répète, d’un point de vue absolu, rien en soi n’est stressant. Ce qui vous stress Vous, peut tout à fait bien laisser quelqu’un d’autre totalement de marbre. La solution, dès lors, ne peut-être qu’intérieure, le stress étant le signal d’un dysfonctionnement cognitif.

Vous roulez, un automobiliste pressé manque de vous emboutir par la droite, ignorant votre priorité, vous pilez net : instantanément vous pouvez ressentir son effet, vous êtes stressé et tous vos systèmes sont en alerte, vous permettant de réagir le plus adéquatement possible à ce qui se passe, par des réflexes biologiques et chimiques qui vous donnent toutes les chances de sauver votre peau (fuite, lutte ou inhibition). Mais que dire de votre machine qui s’emballe complètement alors que la seule chose qui se passe est que cette pétasse de secrétaire (pétasse existe-t-il au masculin ?) n’a fait qu’ignorer votre requête, par un léger et quasi imperceptible haussement d’épaule, bousillant votre belle humeur et générant en vous une colère parfois longue à maîtriser. A moins que ce ne soit la discrète et néanmoins caustique remarque de votre mère (belle ou pas) l’autre jour, ayant critiqué ouvertement votre chemise ou votre nouvelle coiffure, alors que vous arriviez à peine, et que vous avez remâché toute la soirée ? Vous en voulez d’autres ? Chez certains, le stress est devenu permanent ou parfois lié à des paramètres beaucoup plus subtils qu’il n’est pas toujours facile d’identifier.

Le cerveau reptilien, complètement instinctif en tant que garant de la survie individuelle, est en lien étroit avec le cerveau conditionné. Au fil du temps et de l’évolution de l’humanité, il y a eu de moins en moins de situations où notre survie était en danger immédiat. Le reptilien de nos jours prend alors le relais et nous informe aussi en temps réel de ce qui est perçu comme un danger au niveau psychique.

Y résister est aussi stupide que de constater qu’un des voyants rouge s’allume sur votre tableau de bord et de décider de continuer à rouler, les yeux rivés dessus et en râlant.

Dans le modèle Transurfing, qui nous apprend – entre autres -, à bien nous connaître et à nous aimer tel que nous sommes, on exerce ce rapport au ressenti, utilisé par l’Observateur comme un précieux outil de conscience, de guidage et de réalignement. La réalité ne se passe en dehors de nous que jusqu’à ce que nous y croyions. Le stress est un message qui informe l’Observateur qu’il y a en soi un filtre que la situation vécue réactive, et que ce filtre, limitant la perception, fausse l’évaluation qui en sera faite et annihile notre merveilleuse capacité à répondre avec créativité en appelant plutôt à une réaction, le plus souvent impulsive et prévisible et dont les conséquences sont tristement répétitives.

Résister au stress est la chose la plus stupide qui se puisse concevoir, détériore votre santé et fait de vous une bombe, au mieux à retardement. Lorsque le stress est venu jusque dans le corps, pour veiller à notre bien-être physique, c’est par le corps qu’il faut tenter de le résoudre, nous dit Vadim Zeland. Respirer, tapoter, boire de l’eau, marcher, méditer, faire un petit rituel tipi, regarder le ciel, chanter, rire, bailler, caresser son chat (d’accord il n’est pas au bureau), dessiner, faire une visualisation positive, écouter de la musique, des fréquences bénéfiques, prendre quelques gouttes de rescue ou autre remède naturel… Ce ne sont pas les solutions qui manquent ! Encore faut-il avoir conscience de ce qui se passe et vouloir redescendre, ce dont le mental/ego qui se gargarise de ses offenses, ne fait pas volontiers.

Et en ce qui concerne veiller à nos circonstances et à nos relations, le stress est extrêmement utile pour interroger la situation en relation à soi, selon le principe du monde miroir : en quoi suis-je personnellement interpellé, qu’est-ce que cette situation dit de moi, de mes valeurs, de mes croyances, de mes présupposés, de mes attentes, de mes jugements, de mes filtres, de mon mental/ego,… Dit en termes Transurfing : en quoi ce que je vis qui m’apparait difficile parle de mes importances ?

Ce retournement du doigt accusateur qui précède la réactivité (et tous les désagréments et situations récurrentes qui en sont la conséquence) en un doigt redirigé vers soi, est le chemin vers la responsabilité, vers l’habilité à répondre et à créer tout le nouveau auquel nous aspirons dans nos vies et dans nos relations, réponse créative dont seule est capable notre intelligence préfrontale.

Voilà le travail sur soi auquel nous invite Transurfing. C’est un magnifique et progressif travail de conscience, de responsabilité et de liberté, que la joie, légèreté et une véritable prise sur la réalité accompagnent. Intégrer et expérimenter ces principes et techniques est non seulement puissant, mais super dynamique et inspirant en groupe. Si cela vous appelle, contactez-moi. Un nouveau groupe démarre à Ittre en Brabant wallon ce weekend. Au moment de vous écrire ce matin, il reste encore deux places dans ce groupe. Je réponds bien volontiers à vos questions.

>> ICI Stage intégration et pratique Trnasurfinng 13 et 14 janvier 2018

Prenez le train et sitôt reconnus et identifiés les raisons intérieures de vos stress, vous apprendrez facilement comment leur dire bye bye !

A la clé, la fluidité, ce chemin de facilité qui vous ira si bien.

En vous remerciant de m’avoir lue et au plaisir de lire vos commentaires : c’est quoi votre truc à vous, pour faire baisser le stress ?

Votre relax et néanmoins dévouée,

Tati Clara

ps : inscrivez-vous dans la colonne de droite, si vous souhaitez être tenu informé de mes parutions d’articles et propositions d’activités.

– 2018 : une année dans l’énergie du 2, saurez-vous danser avec « les autres » ?

Ce à quoi vous avez donné naissance en 2017, première année d’un nouveau cycle (et jusque fin mars encore dans la même énergie d’ensemencement au niveau individuel) va devoir être materné, chouchouté en 2018 pour prendre forme dans la matière, en co-construction avec « les autres » cette fois, dans l’énergie propre à une année 2, seconde du cycle de neuf ans commencé l’an dernier.

Dans l’article que vous pouvez lire >> ICI, paru hier sur le site psycho-bien-être.be, je vous parle de l’énergie particulière de cette année « 2 » dont une des caractéristiques est aussi d’être fortement polarisée, afin que vous abordiez les choses qui vous seront données à vivre, avec toute la patience, la diplomatie et les autres talents requis pour composer avec l’altérité et la dualité et surfer sur cette vague à haut potentiel, avec fluidité et sans vous faire malmener/débarquer !

Un Observateur bien en place, profitant de tous les attributs de l’intelligence préfrontale, fera cette année une grande différence ! 2018 s’annonce comme étant une année où le modèle Transurfing prend plus son sens que jamais, nous offrant toutes les clés pour grandir encore en conscience et nous accomplir, forts des merveilleuses dispositions de l’Observateur et de ses compétences préfrontales.

Pour rappel, un groupe d’intégration et de pratique Transurfing démarre un trajet en 4 modules le weekend prochain, 13 et 14 janvier, à Ittre (Brabant wallon, à 5 min de la sortie Ittre, sur le ring Ouest de Bruxelles). A ce jour, il reste encore la possibilité de s’y inscrire.

>> ICI Stage Transurfing Ittre, toutes les informations

Au grand plaisir de répondre à vos questions et de vous accompagner peut-être dans cette aventure/expérience, à haut potentiel elle aussi – afin d’acquérir les outils, les compréhensions et de vivre des expériences vous permettant de diriger mieux votre barque, dans l’alignement avec les aspirations profondes de votre âme.

Merci de m’avoir lue, je vous dis à tout bientôt !

votre dévouée et bientôt printanière,

Tati Clara

 

– De 2017 à 2018 : Petit bilan entre amis

Combien de fois avez-vous dit Bonne année ! ces dernières heures, combien de messages, personnalisés ou non, avez-vous envoyé, chargés de vos vœux pour les autres ? Et à vous, vous êtes vous adressé un message ? Lequel ? Avez-vous clarifié ce que vous vous souhaitez à vous-même pour 2018 ? Avez-vous vous aussi identifié ce dont vous ne vouliez plus?

Régulièrement, je fais l’expérience – pour moi et avec les personnes que j’accompagne vers plus de réalisation et de plénitude dans leur vie -, de ce que le seul fait d’amener à la conscience un comportement ou un mécanisme limitant inconscient – œuvrant dans l’ombre à nous saboter, recréant ces situations récurrentes en boucle dont on ne veut plus – suffit souvent à les transformer !

Non pas que la prise de conscience, qu’on nomme aussi la « percée », soit la transformation mais qu’elle parce qu’elle en est la première étape, permettant au schéma conscientisé, en changeant de statut (d’inconscient à conscient) de se transformer de lui-même, sans que vous ayez à intervenir ou à faire quoi que ce soit, si ce n’est d’observer « la chose » bouger. La conscience est une lumière si puissante, qu’alliée à un esprit – bourru certes mais honnête-, elle ne peut pas ne pas faire évoluer ce qui se trouve désormais sous son égide. La transmutation devient inéluctable, par la conscience c’est la vie qui reprend ses droits. Et en soi, la vie est la solution à la vie…

Sortez un aliment du surgélateur où sa forme figée n’évolue pas et vous verrez la transformation opérer. Alors, bien entendu, vous pouvez accélérer le processus, en mettant l’aliment congelé sous l’eau chaude, pour suivre notre exemple. Ce qui en terme de changement de comportement, équivaut peut-être à se faire accompagner, pour se faire challenger à sortir de sa zone de confort et afin de rejoindre plus rapidement de nouveaux secteurs de l’espace des variantes, où vous attendent d’autres réalités, conséquence immédiate et inéluctable elle aussi, de vos nouveaux comportements et des croyances, pensées, états d’esprit qui les accompagnent et les réactualisent de concert.

Mais vous pouvez tout aussi bien ne rien faire d’autre qu’attendre et observer.  C’est ce que je vous propose aujourd’hui, au coin du feu, en famille, avec vos amis ou même en douillette présence à vous, si vous êtes seuls.

Pour cet aliment sorti du surgélateur, si vous ne faites rien de plus que de le poser là, revenez d’ici quelques heures, quelques jours, et vous observerez qu’en le sortant du froid c’est la vie elle-même qui a repris ses droits et avec elle, l’inévitable impermanence et évolution dans la matière.

Nos schémas inconscients sont en quelque sorte de même nature. Figés presque éternellement dans une forme non évolutive, jusqu’à ce qu’ils demeurent dans l’inconscient, ils ne peuvent pas ne pas évoluer dès lors que nous les conscientisons. Là est notre seule part du travail dans un premier temps. Au delà, il faudra juste peut-être un peu de courage pour expérimenter/intégrer les nouvelles formes et les nouveaux comportements, naturellement inspirés par la réalisation de ce qui était inconscient, condamné à rester figé et non soumis aux lois du temps et de la mémoire. C’est qu’une mémoire saine est évolutive, comme le démontre très bien Boris Cyrulnik. Si ça circule, s’il y a de la vie et de la conscience, les schémas répétitifs ne le restent plus longtemps et évoluent en toute logique, ce qui n’est pas du tout le cas pour ces mémoires traumatiques qui ont été cachées dans l’inconscient en des temps lointains, dans le but de nous protéger. Magnifiques protections qui, lorsqu’elle ne sont plus nécessaires, continuent pourtant à nous limiter par une stratégie restrictive qui n’est souvent plus adaptée ni à qui nous sommes devenus, ni aux situations présentes qui n’ont – en réalité – plus rien à voir avec les situations anciennes, dont nous avons eu à nous abriter d’une éventuelle redite.

Qu’est-ce qui n’est plus nécessaire pour vous, de quoi ne voulez-vous définitivement plus en 2018 ? Au profit de quoi ? Nous nous sommes échangé des dizaines (voire plus car ça continue comme en témoignage mon portable crépitant) de ces messages de bons vœux, adressés pour souhaiter aux autres tout le meilleur. Mais à nous-même, qu’avons nous souhaité ? Y avons-nous seulement pensé à cette personne, nous-même, qui est pourtant censée être la personne la plus importante pour nous ?

Mais vous êtes peut-être un peu barbouillé ou même encore une coupe à la main, au moment de me lire ? Place à l’an neuf et à un bilan, petit, mais en bonnes et dues formes, comme annoncé !

De là où vous êtes, posez-vous ces trois questions simples,  en votre for intérieur tout d’abord, et répondez-y ensuite par écrit (vous savez, histoire d’aller jusqu’au bout, de formaliser) :

  • Qu’est-ce que je laisse à 2017 ?
  • Qu’est-ce que j’emporte avec moi de 2017 ?
  • Qu’est-ce que je veux de nouveau pour 2018 ?

Et voilà, ça peut ne prendre que quelques minutes et pourtant s’avérer déterminant pour impulser la manifestation des merveilleuses réalités auxquelles vous aspirez !

Dès que les questions sont posées, commencez à observer. Vous est-il plus facile de formuler ce dont vous ne voulez plus ou au contraire est-ce plus évident pour vous de déterminer ce que vous voulez ? Faites des liens avec votre réalité. Sur quoi mettez-vous le focus ? Les prises de conscience qui vont suivre vous permettront une belle clarté d’intention, auquel l’Univers ne peut pas résister. C’est la loi.

Merci de m’avoir lue, j’attends de vous lire à mon tour, si vous nous faites le plaisir de nous partager en commentaire ce à quoi vous aller donner vie en 2018, comme vous en faites aujourd’hui le vœu sincère (promesse qu’on s’est faite à soi-même, résolution ferme qu’on a prise).

Dans la joie, la clarté, la gratitude et l’immense potentiel d’une conscience éclairée : very happy new year, very dear folks !

Votre toute nouvelle,

Tati Clara

 Toutes les infos pour les stages d’intégration et de pratique Transurfing :    

>>c’est par ICI