Cet article est long, si ça vous dit de l’écouter, je vous en ai fait une lecture :
Parmi les nombreux potentiels en excès que génère l’être humain – déchaînant les forces d’équilibrage de l’Univers qui veillent en permanence et auront pour effet de contrarier, de détourner du but -, le potentiel en excès que produit l’attachement au passé est probablement un des plus limitants et énergivores.
Avant de parler cette importance XL, revoyons comment se produit un potentiel en excès ? Suite à une réaction interne face à un événement extérieur qui confronte l’importance, incitant la personne à vouloir la défendre ou la renforcer, se passe une dissonance, un désalignement énergétique responsable du potentiel en excès. C’est le rapport entre l’importance accordée à quelque chose et le taux d’excitabilité que revêt la situation en fonction des importances titillées et du système de valeurs en place, qui va donner la valeur du potentiel en excès généré et l’amplitude des forces d’équilibrage de l’Univers, en correspondance. C’est physique et dynamique.
Et la réponse de l’Univers alors ?
Je ne suis pas physicienne mais il me semble bien que les forces de rééquilibrage de l’Univers poussent. Dans un sens ou dans l’autre, créant la dynamique, elles poussent et impulsent un mouvement. C’est comme une danse, une respiration. Elles vous poussent vous écraser le nez contre ce que vous craignez avec ce trop d’investissement émotionnel caractéristique du potentiel en excès, ou vous éloignent (vous poussent loin) de ce que vous voulez de façon excessive. Regardez comment cela fonctionne lorsqu’elles rétablissent l’équilibre dynamique dans la nature, au niveau climatique par exemple où s’opposent pression et dépression, l’orage qui explose au plus intense de la chaleur déchargeant la tension par les ondées, les vases communicants… etc, les exemples sont nombreux ! Les lois de la physique nous sont tout autant appliquées. Si vous vous penchez trop à un balcon, par exemple, et que vous allez flirter avec le point critique de rupture de l’équilibre où vous sentez bien que vous pourriez vraiment tomber (votre tambour intérieur, manifestation de l’importance de survie ici, vous en informera !) s’ensuivra nécessairement un moment fort : soit vous vous rejetez en arrière, soit… vous êtes tombé. Les forces d’équilibrage de l’Univers ont fait leur travail dans les deux cas, la grande tension créée par le frôlement de la zone critique est anéantie, le calme est revenu : Soit vous soufflez dans votre salon, heureux de vous être retenu à temps, soit vous êtes aplati sur le trottoir… SIC
Prenez quelques instants pour vous remémorer 3 situations parmi les plus « spectaculaires » intenses ou dramatiques que vous avez vécues, trois moments forts dignes d’une séquence cinéma de votre expérience de vie – Vous y êtes ?
Regardez maintenant comment les forces d’équilibrage de l’Univers ont œuvré et les situations/événements qu’elles ont manifesté, observez comment elles ont agi. Voyez maintenant en vous qu’est ce qui était en jeu, identifiez les importances, faites-le authentiquement, avec la clarté, et la curiosité détachée de l’Observateur. Aussi, respirez – comme toujours – et d’autant plus que vous êtes en exercice introspectif.
A vos commandes (conscientes) !
Avec un temps retard « x » (espace/temps qu’on ne peut actuellement mesurer et qu’il me semble personnellement stratégique que L’Univers garde mystérieux pour toujours – c’est un autre sujet), mon Monde, en permanence et sous ma dictée, crée des contextes et des situations qui viennent concrétiser mes pré-visions et ma compréhension des choses, les rendant manifestes. Il ne crée pas autre chose. Puissantissime et divin, notre Monde, selon Vadim Zeland n’en est pas moins à notre solde. Il peut tout mais ne créera QUE ce que nous lui commandons, directement ou indirectement. Nous pouvons tout avoir dans le catalogue mais il nous faut passer commande intentionnellement. Qui dit intention ne dit pas conscience attention ! Le système fonctionne à merveille, autant avec les intentions conscientes qu’inconscientes ; reprendre le pouvoir sur notre réalité à 100% suppose 100% d’intentions conscientes…
Les importances orientent mon intention, l’intention crée ma réalité. Autrement dit le monde est mon miroir, fidèle reflet de mon in-tension, de ce vers quoi je tends, de ce qui me tente… en fonction de ce qui est important pour moi. La façon dont je prévois, appréhende, projette intentionnellement ma vie est intiment lié aux valeurs et aux croyances que j’ai glanées dans mon expérience de vie, nous sommes des êtres rationnels et ainsi fonctionnons-nous naturellement. C’est pourquoi d’une façon générale, c’est directement l’entretien d’importances qui restreint – c’est physique non philosophique – le plein déploiement de la réalité. Ressentir/nourrir de l’importance équivaut véritablement à placer des œillères et à regarder le présent sous l’angle limitant du passé, se coupant d’une partie du champ et des possibilités qu’il recèle. Dans la mesure où par nature l’importance est toujours établie antérieurement à la situation qui vient la chatouiller, celle-ci limite précisément la manifestation des choses à ce que l’humain en attend, à ce qu’il en espère, à ce qu’il en exige, à ce qu’il en craint,… ou autrement dit : en totale conformité avec le cadre limitant de son importance, cristallisée dans le passé. C’est la loi.
C’est qu’il ne voit pas, l’inconscient, que peut-être, s’il était vraiment ouvert au présent (au cadeau), vierge ou affranchi de son passé, tous ses vœux se réaliseraient beaucoup plus vite! Mais par son importance et le maintien/défense de celle-ci – par son évaluation inadéquate et/ou limitée de la perception de la réalité -, il pré-voit toute chose, se privant de la sorte des variantes infinies existant en potentiel de réalisation dans ce qui est hors de son cadre de pré-vision. Pourquoi ? Ne mesure-t-il pas l’enjeu véritable ? A moins qu’il ne comprenne théoriquement tout ça mais qu’il en évalue mal l’impact par manque de lucidité, d’engagement à soi ; ou alors parce que le manque de confiance en son monde ne le pousse pas à se maintenir suffisamment constamment dans l’ouverture pour voir se refléter dans le miroir des réalités nouvelles auxquelles il aspire ?
Que se passe-t-il pour que, informés de la loi et du prix de son outrepassement, nous nous fassions encore si souvent avoir et laissions dormir notre Observateur, laissant au mental limiter et restreindre le plein déploiement de notre vie ?
Nous savons bien ne pas avoir d’yeux dans le dos. Prétendant avoir confiance en la Force mystérieuse – l’intention externe – qui peut tout (en théorie tout le moins), l’homme pourtant conscient se comporte régulièrement encore comme s’il était seul maître à bord, comme si tout résultat ne dépendait que de ses pauvres petits efforts, de ses précautions, choix et positionnements. D’où vient cette incohérence, cette incongruence ?
Coincé, par son fonctionnement mental, dans une représentation linéaire du cours de la vie, l’humain souvent ne peut embrasser la perfection de la danse, la parfaite organisation du vivant qui évolue et se déploie au gré de la loi des causes et de leurs effets. Coincé dans une représentation linéaire du cours de la vie, il ne peut réaliser ni re-ce-voir que les réponses de l’Univers viennent toujours, qu’elle sont d’une précision de métronome et que oui, chaque pensée, chaque intention et chacun des gestes – émis en conformité avec le système de valeurs, avec les importances, sont autant de causes et que celles-ci sont directement liées aux effets qui s’ensuivent, quand bien même ils se révèlent manifestes dans un autre espace/temps. C’est que du point de vue quantique, vous le savez bien, le temps et l’espace n’existent tout simplement pas. En vérité tout est lié, rien n’est gratuit, tout a un impact et les événements s’enchaînent, s’ordonnent et se répondent dans une logique pure – et j’ajouterais splendide ! Le Tout comme un seul grand corps qui respire. Mais les liens de cause à effet, différés dans le temps dans le continuum de l’existence selon notre perception des choses, se font invisibles, insoupçonnables, délayés. Ils sont pourtant à base de la co-création et de la manifestation des réalités, des petites comme des grandes.
A moins d’un travail de conscience sur soi (l’Observateur), aveuglés, coincés dans notre logique linéaire et limités par nos importances, nous sommes privés de voir à 365° et de faire l’expérience de notre pouvoir, c’est-à-dire à notre capacité à rallier l’Univers à notre cause. Un pouvoir immense que Vadim Zeland a su brillamment éclairer dans son modèle de réalisation individuelle qui n’est pas motivationnel mais bien comportemental ; qui est philosophique certes, mais plus encore physique !
Comment se comporter avec la vie, voilà ce que Transurfing nous donne à apprendre et pratiquer, en connaissance de cause (et d’effets). Comment réaliser la promesse de « Dieu » envers l’Homme, cet animal spécial, créature d’entre toutes, et porter sa vie avec (se com-porter) cette compréhension, cette attitude, avec cette connaissance : « Intrinsèquement je sais qu’à mon niveau humain mon pouvoir, mon rayonnement d’action est limité mais, que mon fidèle collaborateur, « mon » Monde, littéralement entraîné par mon enthousiasme en action et inspiré par ma vibration projective (visualisations), est à ma solde et qu’il est lui, par contre, doté de supra giga méga pouvoirs ! »
Mais dans le monde duel polarisé dans lequel il a à se positionner continuellement, l’Homme oscille – Il serait ici bas pour se calmer de cette agitation en retournant progressivement vers le centre, comme en parle bien Burensteinas. En attendant, il est tantôt coupé de sa source tantôt main dans la main avec « son Monde ». Soit il vibre haut, dans la confiance/conscience de sa double nature – et Dieu et homme – limité certes dans sa petitesse et sa fragilité, mais illimité parce qu’il confie le gouvernail, parce qu’il délègue à son monde tout ce qui le dépasse, soit il doute. Entre confiance et méfiance, l’homme oscille entre moi avec mon monde (tout est possible) et moi tout seul (tout n’est pas possible) réduisant les potentialités à son seul pouvoir humain et retardant la manifestation de ce qu’il souhaite voir se manifester dans le reflet dualisé du monde.
Oscillant, il peine à faire preuve de constance dans ses attentes, les assortissant de doutes. Conclusion, il envoie à son monde toutes sortes d’intentions conscientes et inconscientes qui s’opposent et se contrarient au gré de son alignement/désalignement, représentant comme des doubles contraintes pour l’Univers. Cela crée de la confusion, retarde et altère la livraison. Si l’on ajoute l’effet retard du miroir (le temps x entre la demande et la réalisation), on comprend mieux la pagaille et les déconfitures au moment de la réception: Vous vouliez quoi déjà, mon brave !?
On y arrive enfin !
Si l’attachement au passé est une importance XL particulièrement énergivore et source de grands potentiels en excès, c’est déjà que toute importance est une forme d’attachement au passé par définition, dans la mesure où c’est dans le passé qu’elle s’est cristallisée. Tant que l’enfant est vierge d’importance, expérimentant continuellement des choses nouvelles dont il n’a aucune idée préalable, dans les premières années de sa vie, il est béat. Heureux et ouverts parce qu’ils n’ont aucune appréhension, représentation, projection ou idée pré-concue de ce qui se passe, et très peu encore de jugements (entre zéro et sept ans c’est le corps émotionnel qui se développe, manquent encore les mots pour le dire et le penser), le petit d’homme est libre.
Mais il le sera de moins en moins et n’échappera pas au conditionnement par essai/erreur et punition/récompense ; au fur et à mesure que se construisent les frontières de son ego et que l’enfant s’individualise, il se crée naturellement des importances, comme autant de conclusions/réactions à ce qu’il a vécu, quand bien même il n’a pas encore de mots pour nourrir sa pensée réflexive. Perdues l’innocence et l’ouverture, de plus en plus il appréhendera lui aussi les choses à la lumière de son passé. Ainsi le veut le fonctionnement de son ego en perpétuelle construction et avide d’auto-définition, d’auto-détermination ; ego identifié qui ne fait l’expérience de son identité qu’en référence interne au passé – autrement dit, le présent (cadeau) lui échappe.
L’attachement au passé est une importance spécifique qui concerne la plupart et résulte tout autant du fonctionnement et du moteur égoique qui, pour sa survie, va développer ses frontières. L’importance est à l’égo ce que les frontière sont au territoire. Invisibles, théoriques, elles restent cependant déterminantes et manifestes de la territorialité, des contours, surtout lors des conflits.
L’attachement au passé crée et renforce les contours égoiques uniques à chacun. Identifié au contenu de l’expérience, l’ego a besoin de maintenir ses importances et son attachement au passé pour sauvegarder ses frontières, se sentir exister, différent et unique. N’ayant d’existence qu’en relation à tout ce qu’il a emmagasiné (soigneusement étiqueté) et vécu, dont il retire son identité et sa sécurité, l’ego va naturellement tenter de donner raison à ses conclusions et de renforcer et cristalliser son personnage. Pas de place au nouveau dans ces conditions. La vie et ses variations potentielles infinies, devient XS.
L’attachement au passé et ses multiples manifestations
D’une façon générale ressentir et/ou exprimer régulièrement du regret, des remords, avoir de l’amertume, être nostalgique de soi-même, de son image ou d’une époque et la préférer à aujourd’hui, garder beaucoup de souvenirs et des vêtements qu’on ne portera plus, ne pas réussir à faire son deuil d’une personne, d’une relation ou d’un projet, entretenir de la rancune et le refus de pardonner ou de la culpabilité et de la honte, raconter souvent la même bonne vieille histoire qui nourrit la légende de soi, sont autant de signes de l’attachement au passé ou à votre passé. Cela limite sérieusement les possibilités et coûte en énergie. Mais restons confiants, tout peut se guérir et s’alchimiser et il n’est pas dit que la guérison doive prendre du temps, ça aussi nous avons à apprendre à mieux le re-ce-voir peut-être.
Comment vous présentez-vous, comment vous offrez-vous au présent ?
Si vous ne l’avez pas encore remarqué, amusez-vous à l’observer : les gens, lorsqu’ils se présentent la plupart du temps, vous parlent d’eux-mêmes dans les toutes premières minutes en termes de passé, cherchant à vous donner matière à les définir par ce qu’ils ont été. Et chacun de sortir ses médailles de guerre, ses petites gloires, sa rengaine habituelle. Ils se définissent souvent par leurs plus grands exploits et/ou par leurs plus grandes souffrances et si ce n’est le cas vous prévienne (encore ce « pré »…) de ce qui est important pour eux : « Je suis celui/celle qui… a un doctorat, a subi ceci, vécu cela… Je ne supporte pas ceci, j’adore cela. Comme je dis toujours… » Bien sûr, en deçà de l’importance interne qui se manifeste là, il faut comprendre aussi ce comportement à la lumière de la nécessité affective de se faire aimer et accepter par l’autre, de la nécessité grégaire d’avoir sa place dans le groupe, ce que le mental tentera souvent maladroitement de faire en essayant d’attirer la pitié, la compassion. Mais revenons à l’importance interne puissance XXL qui se révèle.
Comment, dès lors qu’on affirme qui on est en référence au passé, créer le nécessaire espace vide à la manifestation du nouveau ?
Dans le cadre de mon travail avec les groupes Transurfing, en coaching individuel et pour les ateliers d’écriture, je constate que l’axe de travail sur les importances porte beaucoup de fruits, d’autant plus en ce qui concerne les importance internes. Toute importance m’apparaissant comme étant interne (comme ce que je porte en moi), l’importance interne serait dès lors à comprendre comme une importance interne interne, soit une importance+++, dont il sera encore moins facile de se dédouaner sachant que l’ego veille ici, plus farouchement que nulle part ailleurs.
Interne et externe à la fois, l’attachement au passé est une importance majeure qui entrave véritablement. En mode positif et évolutif, mettre (con)sciemment en place le nouveau laisse moins de place à l’ancien, c’est assez simple et cela s’exerce au quotidien. Dire des choses qu’on a jamais dites, faire des choses qu’on a jamais faites, consciemment, par la décision de l’Observateur. Il voit lui le mental se précipiter et vouloir y aller de son habituelle rengaine. Mais comme il le voit, il sait vous pousser à prendre la respiration nécessaire et à oser exprimer autre chose, à donner réponse plus justement et en adéquation avec vous, ici et maintenant, que la réaction pré-visible calée sur votre passé, à laquelle votre mental vous a habitué.
C’est pourquoi, afin d’en finir aujourd’hui avec cet inépuisable sujet et cette matière évolutive de prédilection, j’aimerais vous proposer une petite expérience. Le mental étant plastique, les neurosciences l’ont démontré, c’est uniquement par l’expérience qu’il accepte d’apprendre (de prendre pour lui) et de se laisser réactualiser, de faire évoluer ses convictions. L’expérience est la suivante : la ou les prochaines fois (si ça vous amuse de poursuivre cet entrainement) qu’une nouvelle personne vous sera présentée, voyez comment il vous est possible dans l’instant, l’ouverture et la présence, d’établir connaissance sans faire aucunement référence à votre passé, sans vous permettre en rien de vous auto-pré-définir en rapport à ce que vous avez vécu, fait, expérimenté. Soyez observateurs et totalement présents, et voyez ce qui se passe et ce que vous êtes inspirés de partager !
En terme de Transurfing, c’est tout le bon et le bien que je nous souhaite! Et de nous offrir, libres et conscients, à l’expérience de la vie.
Merci de m’avoir lue en tout ou en partie et de votre fidélité, je nous laisse chacun à nos importances (« quel long article quand même ! », est la mienne en ce moment..) et me réjouis de lire vos commentaires.
TATI CLARA
Merci beaucoup pour ce partage. L’audio est une excellente idée. Cela m’a incité à entrer dans l’article.
Jeanphilippe
Merci Jean-Philippe de votre bon accueil, j’ai eu beaucoup de plaisir à partager cet audio, d’autres suivront. Tout le meilleur pour vous sur votre chemin !
Merci Madame
Avec plaisir Jean-Alphonse, merci à vous d’être de l’autre côté de la toile et bonne continuation à vous :)
Merci,personnellement je n’ai pas besoin de musique de fond,votre voix ,qui m’est agréable ,me suffit merci de partager votre réflexion, elle m’aide beaucoup dans mon chemin . Je vous souhaite le Bonheur
Merci de votre retour et de votre bonne réception de mes réflexions, qui me sont bien agréable moi aussi et donne beaucoup de sens à mon travail :) Mes plus belles énergies vous accompagnent, à vous aussi beaucoup de bonheur !
Juste merci : merci d’avoir pris le temps de formuler ces effets de l’importance accordée, basée sur l’expérience passée, et merci de l’avoir enregistré pour nous car cela m’a permis un moment d’écoute très confortable!!! Votre voix fut pour moi très agréable à écouter :-)
Valérie merci de votre message qui me touche et m’encourage à continuer. Enregistrer cet audio d’un article/réflexion bien long à écrire – la thématique de l’importance est à la fois infinie mais essentielle – a été naturelle et plaisante pour moi. Cela m’a permis de me sentir plus en contact avec vous tous, derrière la toile, à qui je m’adresse. Extra :) à tout bientôt je vous envoie beaucoup de lumière Valérie, excellente continuation à vous !
Chouette Valérie, merci ! Je vous souhaite de très chaleureuses fêtes, à tout bientôt
Bonjour Clara,
Je retrouve aujourd’hui par votre publication ce contact avec Transurfing et je vous en remercie comme je remercie l univers qui une fois encore réponds à ma demande , même pas formulée mais bien existante en moi.
Présentement en instance de divorce en invalidité définitive d exercice de mon ex métier de kinésithérapeute aide par une psychothérapie initiatique; la voie de l amoureux , et par vous et le Transsurfing je pense comprendre pour le ressentir quasiment tous les termes de votre publcaton audio .
Les anciennes croyances depuis longtemps créés en moi et par moi et donc l attachement au passé mempêchent encore de faire les nouveaux choix de la nouvelle vie que je désire vivre maintenant.
J en ai au moins conscience il y peut donc y avoir un observateur en moi.
Le manque de confiance et plus encore la difficulte à savoir et à dire, à me dire et donc à demander à l univers (pas comme une pensée magique ) ce que je veux sincèrement , reste difficile et incertain et je comprends bien que les réponses que l univers m apporte sont fluctuantes et encore un peu insatisfaisantes.
Je reste optimiste
Mon amie , amour?? ? Est très impactée par les evenévénements tragiques de Paris et surtout par son attachement au passe .je vais lui transmettre votre publication, j espère que cela va l aider.
La pensée est créatrice mais comme c est difficile encore pour moi de savoir ce que je désire vraiment .de nommer mes valeurs pour être clair avec moi même et congruent.
Merci encore à vous prenez bien soin de vous .
Marc
Bonsoir Marc,
Je vous remercie pour votre message et le partage de votre vécu. Je comprends que vous vivez des situations qui demandent du courage. Par ailleurs savoir où on veut vraiment aller et créer de nouvelles réalités est quelque chose qui s’intègre au niveau de la compréhension approfondie du fonctionnement des choses mais aussi par la pratique, l’expérience et le travail de conscience et de centrage sur le coeur. Nombreux sont ceux qui se font aider et soutenir, qui demandent des soins, notamment dans des pratiques de groupes, c’est ok. Les temps sont durs et nous sommes, tous autant que nous sommes, concernés par ce travail d’humanisation, d’alchimisation et le faire en groupe est très soutenant et permet justement de faire baisser l’importance, de comprendre que nous avons tous un chemin à faire. Personne n’en est privé, patience. Merci de votre accueil et de donner sens à mon travail. Je suis heureuse de cette synchronicité, profitez-en ! D’où êtes-vous ? Si vous pouvez vous déplacer il reste encore une ou deux places pour l’atelier de dimanche à Bruxelles et je serai à Paris pour le module 1 Transurfing, les 5 et 6 décembre. Il reste aussi de la place dans ce groupe.
Prenez bien soin de vous aussi et remettez mes amitiés à votre femme. Je vous souhaite de vous organiser un we orienté zénitude, pour décompresser de toute l’agitation ambiante de la semaine. A bientôt peut-être Marc, en soutien par la pensée et l’énergie, bonne soirée à vous.
Marc merci pour ce partage authentique et chaleureux. Votre vie et ses contenus actuellement difficile vous poussent très certainement vers de nouvelles aventures Marc, essayez de voir en quoi cela peut représenter une opportunité ? Je vous félicite pour votre optimiste et je sais que vous chercherez à optimiser les potentiels. Prenez grand soin de vous également Marc. Mes plus belles énergies vous accompagnent
Bonjour Tati Clara
Merci beaucoup pour votre article : j’adore tout ce que dit Vadim Zeland !
Il y a pourtant une chose dont il ne parle pas (du moins il me semble) ; j’ai lu les 5 livres et je ne crois pas qu’il évoque cela …
Mais il y a d’autres livres qui ne sont pas traduits…
Bien sûr pour être pleinement là, il est nécessaire de se détacher du passé !
Cependant, les mécanismes de protection que notre cerveau a mis en place pendant l’enfance génèrent les croyances et les mécanismes automatiques et inconscients qui agissent à notre insu et qui nous empêchent d’être là. (refoulement, projection, intro-projection, défi, isolation, formation réactionnelle..etc..)
Cela demande donc un travail psychique de :
– d’observation et de prise de conscience de ces mécanismes et de ces croyances
– souvent d’un accompagnement
– de cicatrisation des blessures psychiques du passé
– de mise en place d’autres croyances et de nouveaux positionnements
et ce n’est pas une mince affaire.
Que dit Vadim Zeland de ce « travail » ?
Si vous avez une réponse, je serai très heureuse de la connaitre !
Encore merci à vous
Hélène
Merci Hélène de votre commentaire. Vous avez raison, je me suis posée la question moi aussi mais n’ai rien fait encore pour obtenir la réponse de l’extérieur. Je suis tout à fait d’accord avec tout sur un certain « travail » ou chemin, ou mouvement, ou gammes… à faire pour se détacher et piloter sa vie différemment, créer de nouvelles réalités. Vadim dit comment le faire mais ne dit pas quoi faire pour ceux qui n’y arrivent pas. Il faut faire s’entraîner. Pour certains c’est long. Ma conclusion et que Vadim Zeland est un physicien quantique, un auteur, un visionnaire. Je suis coach et thérapeute (écrivain en devenir :) Je sais qu’il encourage et valide notre travail. Il dit bien que seuls 5% des gens se dédouanent de la matrice. Et les autres alors ? Je pense qu’il a fait sa part en déposant le modèle et qu’il n’a pas pour vocation/mission de transmettre sur le terrain. Aussi, cela permet à d’autres personnes de s’approprier le modèle et d’être créatif autour de sa transmission.
Merci pour votre commentaire pertinent, je retiens toutefois que je ne suis plus la seule à me poser cette question, si j’ai du nouveau je vous tiens au courant Hélène. Très bonne continuation à vous et beaucoup de lumière et d’amour sur votre chemin !
Bonsoir Hélène,
J’en aurai mis du temps à vous répondre, je ne m’améliore pas encore en ce point ! Merci pour vos observations et votre question que j’avais tellement bien gardé en mémoire que je jurerais vous avoir répondu. Je ne sais pas ce qu’il en dit mais je sais seulement qu’il encourage notre travail. Je vois moi aussi, avec tout le travail d’intégration qu’il y a à faire dans les groupes, que s’il explique merveilleusement une vision excellente des choses. A ma connaissance il ne parle pas à proprement parlé de la problématique de ceux « qui n’y arrivent pas » ou mal, pour toutes les bonnes raisons que vous évoquez. Ceci dit, le quantique nous ouvre la porte à des guérisons parfois instantanées, qui ne semblent pas toujours devoir nécessitez de « repasser » par le passé. Transurfing est un modèle qui nécessite des passeurs :) Passionnant ! A très bientôt, je vous souhaite de très chaleureuses fêtes Hélène et tout le meilleur, merci de votre contribution.