Archives mensuelles : juillet 2017

– Université d’été Transurfing : un laboratoire quantique de développement personnel

Tout bientôt, l’université d’été Transurfing ouvrira à nouveau ses portes pour y accueillir les participants de cette édition 2017 spéciale « guérison ». Cet été, le stage résidentiel intensif d’intégration et de pratique Transurfing par approche pluridisciplinaire se passe du 13 au 23 août au Domaine de Castillou, un lieu plus qu’exceptionnel, aux confins du pays Cathare, En bas de cet article, recevez les messages audio et vidéo de l’équipe pédagogique et logistique de pointe qui vous accompagnera dans ce trajet étonnant pour booster vos talents créateurs.

>> ICI les informations générales

>> ICI Intervenants & Programme

J’ai l’habitude de dire que l’université d’été, c’est un véritable laboratoire quantique de pointe de développement personnel. Pourquoi ? C’est l’aspect expérientiel et pluridisciplinaire qui y prédomine, vous permettant de solliciter plusieurs de vos canaux d’apprentissage et de faire des ancrages qui favorisent tous deux l’intégration. Chaque formateur et expert est invité à y partager ses plus récentes compréhensions, découvertes et techniques et à vous entraîner à faire des liens avec votre réalité. Ils vous les transmettent dans une ambiance conviviale que tout porte à être exceptionnelle, contribuant à faire de ce stage un écrin pour votre travail de laborantin,  boosté par le groupe.

Sur le chemin de la connaissance de soi, de la compréhension du monde et de la recherche d’une vie pleine et accomplie, Transurfing apparaît comme une véritable aubaine. Voilà un modèle simple, pertinent, qui nous enseigne avec finesse comment tirer les ficelles d’une réalité qui ne se déroule pas sans interagir avec chacun, loin s’en faut.

Pourtant, comprendre intellectuellement Transurfing, même si sa lecture nous a transporté ou fortement inspiré, n’est souvent pas suffisant pour parvenir à diriger sa réalité. C’est qu’il y a, en rapport à ces nouveaux paradigmes qui nous élèvent au rang de co-créateurs, à se libérer des forces et conditionnements auxquelles nous répondons inconsciemment et à se réveiller sur la nature de cette danse créatrice avec l’Univers – à en apprendre les règles. Nés dans un monde héritier des fatalisme et déterminisme auxquels les siècles précédents nous ont plus qu’habitués, un temps est nécessaire pour transformer et ouvrir notre regard. Au plus profond de soi, se réveiller signifie allumer en soi la lanterne qui éclaire le panneau : « quoi qu’il arrive, je suis – de près ou de loin – responsable de ce qui se passe ». Responsable, non pas coupable comme les francophones en confondent souvent les sens, mais responsable dans le sens habilité à répondre. Transurfing nous apprend à développer nos compétences, à entrer dans un dialogue conscient avec tout ce qui est. La réalité étant par nature changeante, peu importe le point de départ d’un situation x qui survient – désagréable/agréable -, admettez par principe que vous y êtes pour quelque chose même si vous ne voyez pas encore comment. Mais rien n’est figé, cette situation évoluera, elle n’est toujours qu’un nouveau point de départ. Et c’est là précisément que votre habilité à y répondre fera désormais toute la différence. D’une petite contrariété vous pouvez l’empirer et co-créer un chaine d’inconvénients ou même de drames épouvantables en cascade. Ou au contraire, par votre attitude et votre posture alignées, faire basculer la situation vers sa variante positive, qui vous entraîne vers plus de positif et vers des réalités qui vous sont de plus en plus favorables/agréables. Rappelez-vous, le monde vous répond ! Mais il le fait avec un temps retard bien évidemment. Vous commandez, il prépare votre commande et vous livre, un temps x plus tard.

Aussi, il n’est pas nécessaire de faire une longue apnée analytique de votre passé pour comprendre de façon détaillée en quoi vos réalités désagréables sont une manifestation en miroir d’intentions inconscientes, et pour reprendre votre pouvoir. Avec Transurfing, on démarre d’ici et de maintenant et on apprend avant toute chose à reprendre son pouvoir sur le dialogue permanent qu’on a, à l’intérieur de soi (car l’Univers entend !) et à l’extérieur, en réponse aux autres et aux circonstances de l’existence.

Souvent, ce qui nous retient d’embrasser véritablement la grâce de la co-création permanente, ce sont des scories émotionnelles et des systèmes de défense mis en place par l’ego pour nous protéger d’avoir à revivre des situations ou des émotions désagréables, qu’il juge toujours en négatif. Imaginez : si nous le laissons prendre les commandes et dans la mesure où bien qu’il y ait dans la vie toutes les nuances, il donne systématiquement tort à toute couleur n’étant pas pure, il fera la gueule et vous direz : sale journée. Sous son contrôle les options se restreignent, car il ne tire son enseignement que du passé. Bonjour les récurrences, les scénari en boucle. A l’université d’été Transurfing, et plus particulièrement dans cette édition 2017 dont la thématique est la guérison, nous accordons le temps nécessaire à détricoter les fils de nos importances et à guérir ce qui demande à l’être, pour libérer l’énergie, augmenter la vibration et atteindre la facilité et la fluidité caractéristiques de ceux qui créent leur réalité en conscience.

Transurfing… me voilà bien intarissable. Je ne vous dirai jamais assez à quel point ce modèle, ingénieux comme le sont souvent les choses simples, est puissant. Et comme il vient répondre à nos aspirations les plus intimes et douloureuses parfois, d’avoir plus de contrôle sur ce que nous vivons. Oui, j’ai dit contrôle. C’est en effet ce qu’on obtient, lorsqu’on parvient à faire lâcher prise au mental et qu’on renonce, à son niveau, à vouloir contrôler.

Mais revenons à l’université d’été. Le groupe est bien constitué et pourtant à ce jour il reste encore quelques places. Par expérience, je sais que quelques uns d’entre vous vont encore se joindre à nous. La question est qui sont-ils ? Vous, qui me lisez peut-être !? Votre cousin, qui va débarquer bientôt chez vous l’âme en peine ? Votre babysitter ? Votre mari ou votre fille ? Quelqu’un dont les projets viennent de tomber à l’eau ou quelqu’un qui attendait, pour voir, ce que l’été allait bien lui proposer ? Je n’en sais rien, je suis curieuse, c’est tout. Et à mon niveau, je m’ouvre simplement à les recevoir. De votre côté, vous entendez peut-être cet appel et en vous quelque chose qui vous dit : vas-y, bouge, c’est ta chance ! Que chacun se reconnaisse, le groupe sera de toute façon parfait tel qu’il sera, Je me tiens d’ici là à la disposition de chacun pour répondre à toutes vos questions.

Que vous dire de plus, si ce n’est que participer à cette aventure aura un impact concret sur votre vie et votre perception des choses, au delà de faire de vous de bien joyeux transurfeurs, équipés d’outils, initiés à des pratiques et forts d’expériences qui changeront pour toujours votre rapport à la vie, la colorant de la plus délicate des humeurs. Non, la réalité ne se passe par en dehors de nous, oui nous avons le pouvoir de la diriger vers la meilleure des variantes qui soit. Voilà la passionnante aventure à laquelle vous convie Transurfing.

Voici un apetizer pour vous permettre de percevoir l’énergie de notre lieu de résidence :

>> ICI vidéo balade au Domaine de Castillou

Et voici vos coachs pour cet été, découvrez le message qu’ils vous adressent. Ils préparent déjà leur valise, et vous ?

Véronique Simon – Atelier sur l’estime et l’amour de soi + en option massage « Toucher Lumière » :

Blaise Magnenat – Atelier Univers Parallèles >> ICI audio

Olivier Masselot vous présente son Atelier M.A.P. 3 portes pour se remettre dans la Présence :

Marie Vialle – Ateliers matinaux de Do-In et de Tai Chi

Alice Le Goff – 2 ateliers de Waga (yoga dans de l’eau à 33°)

Claire van Gheluwe, assistée par Sonia Devos – Trajet Transurfing – Atelier d’écriture – Ateliers d’initiation à la guérison quantique :

En option :

  • Les merveilleux massages relaxants et guérisseurs, aux huiles pures aromatisées maison, de Emmanuelle Souriau  >> ICI sa vidéo
  • Les massages harmonisants de Véronique Simon, qu’elle donnera en option durant son séjour parmi nous (voir sa vidéo plus haut)
  • Une séance de biorésonance avec Blaise Magnenat >> ICI plus sur la biorésonance

Messages bien reçus ? Merci de m’avoir lue et au plaisir de répondre à vos questions et commentaires.

Tati Clara

L’université d’été Transurfing, est un stage résidentiel, intensif, immersif, holistique et joyeux de défragmentation et de nourrissement à tous les niveaux de votre être, pour vous sentir un et un avec le tout, votre Observateur bien en place et sur les starters pour vous créer d’heureuses réalités, comme Transurfing nous en donne un mode d’emploi simple et ingénieux.

Vous plongez ?

 

– L’Univers –

Notre Univers est encore en expansion. Heureusement, car vous en conviendrez aisément, en termes ‘d’unis vers’ il semble qu’on peut mieux faire… ! Pourtant, l’Univers, à la relativité duquel nos perceptions sont aliénées, nous donne en son nom l’intention première de ce Tout qui est, nous invitant à un retournement pour en révéler la perfection et l’Unité.

L’Univers par-ci, l’Univers par-là,… à force de le nommer cet Univers, et de par les nombreux champs de la pensée qui ont investi le mot de manière différente, on finit par ne plus entendre son sens élémentaire. Par définition l’Univers est l’ensemble de tout ce qui existe, la totalité des êtres et des choses inter-reliées par le principe universel de causalité, et désigne aussi l’ensemble de notre humanité, la société des hommes ; voilà en partie ce que veut dire le mot univers. Quand à ce qu’il signifie,  il vous suffit simplement de l’écouter pour en percevoir son sens premier, plus métaphysique, initiatique – Uni-vers – que son étymologie comprenait bien : tourné(s) vers l’Un. Un univers est ‘uni vers’, ‘versé dans une même direction’, ‘tourné vers un but commun’. Ce qu’il ‘en retourne d’un univers, c’est son unité’* Un seul grand corps qui se tourne vers un but commun : lui-même, l’UN. Comment aller dans son sens et opérer ce retournement ?

Faites danser le mot en boucle sur lui-même maintenant, Uni-vers-uni-vers-uni-vers-uni-vers-uni-vers-uni… et voilà que sous cet angle,  il montre un chemin, nous appelant intérieurement au mouvement fondamental plus profond vers l’Un(i), pendant qu’à l’extérieur nous pédalons dans la dualité de la matière.

Comment l’expérimenter ensemble cet Univers uni-vers ? Certes, pas en se tournant vers lui dans un premier temps, vers le monde sans la relativité duquel l’expérience même du monde disparaîtrait : les choses ne nous sont concrètement perceptibles vous le savez bien, que par l’existence de leur polarité contraire. Vous aimez le silence ? Comment l’apprécier sans qu’existe le bruit et que vous en ayez déjà fait l’expérience ? Pourquoi dès lors lui donner tort, le bruit est ce qu’exige la manifestation même du silence. Le bruit est dans le silence et le silence dans le bruit, comme une trame négative révélatrice. Pourtant, donner tort est ce que fait inlassablement l’esprit, que la peur et l’insatisfaction caractérisent dès qu’il perd le contrôle sur la réalité, dès qu’elle ne se comporte pas exactement selon ses prévisions. 

Nous sommes plongés en immersion totale dans la dualité de la vie qui crée pour nous un champ d’expériences polarisé, dans lequel nous nous positionnons à chaque instant (consciemment ou non). L’Unité que nous cherchons à l’extérieur de nous est une course insensée, une quête désespérée. Comment fonder l’expérience de l’Un sur des choses/des personnes/des objets/des situations extérieures et donc incontrôlables, dont la nature même est de n’être pas stable et de s’exprimer dans toutes sortes de tonalités, puisque la vie est mouvement et par là, expérience variée d’elle-même ? Certes nous n’aimons pas être tristes mais bon sang, il est urgent d’admettre et même de jouir de sa tristesse autant que de ses joies, tant d’autres nuances délicates du beau s’y dévoilent, l’une et l’autre étant l’expression d’une même énergie.

Être humain et non faire humain

C’est du plan miraculeux de l’expérientiel plutôt que de celui du jugement binaire du mental sur les contenus de l’expérience – forcément tour à tour décevante -, que nous sommes invités à être au Monde et à célébrer la vie.

Nous gagnons à un changement de point de vue, à un retournement vers l’Un en nous : Faire tomber l’illusion et percevoir l’énergie du Tout de laquelle nous participons de toute éternité et vers laquelle nous retournerons en une danse d’incarnations, dont le Tout bénéficie en tant que faisant l’expérience du Tout. Ça donne un peu le vertige, je vous l’accorde.

C’est alors qu’ayant touché l’Un en soi, on peut porter sur le monde un autre regard et participer à la danse avec la créativité, la béatitude et la présence qu’on connaît aux âmes paisibles. Conscients, nous embrassons l’Uni-vers pour ce qu’il est autant que pour ce qu’il n’est pas, indépendamment de nos préférences : Le Tout (qui) existe. Ce faisant, c’est précisément ce que nous préférons et auquel nous n’avons pas accordé trop d’importance, que nous attirons et qui se réalise. Chérissons donc nos expériences et le Grand Maître du jeu infini et passionnant de la Vie qui se vit à travers nous, car c’est un jeu auquel tout le monde gagne. Régalons-nous de cette merveilleuse et misérable vie-ci, qui nous gratifie autant qu’elle nous malmène. Créons, soyons fous ou raisonnables, de toute façon, on va tous au même endroit !

Ainsi, la voie du milieu revient à apprendre à embrasser les polarités, à prendre la vie ici bas cœur à corps, pour ce qu’elle est – une expérience qui aura une fin -, dans l’infinie palette nuancée dans laquelle elle s’offre à nous. Dans Transurfing, l’étonnant modèle quantique de réalisation individuelle de Vadim Zeland que j’ai la joie de transmettre depuis six ans, c’est la posture de l’Observateur qui l’incarne, la voie du centre, celle que Vadim Zeland nomme la voie de la facilité. Jouer le jeu d’être ce filet d’eau vive qui danse et caracole au milieu de la rivière, réalisant sa puissance des eaux glauques qui le contiennent. Ainsi, l’Observateur, très loin de l’immobilité que peut suggérer son nom en français, c’est celui qui, com-prenant les choses depuis ce centre, chevauche librement l’ensemble et en tire le meilleur parti. Avec quelle envergure !

Merci de m’avoir lue, je vous écris depuis la terrasse, en doudoune et chaussettes, puisque mon expérience du jour est que l’été à Bruxelles est pourri… ! Ah, comme est bien vivant en cet instant le soleil que je caresse en moi, alors pourtant qu’il brille par son absence dans ma couche du monde !

Votre estivale,

Tati Clara

*http://www.cnrtl.fr/definition/univers

 

– Transurfing, des nouvelles d’une communauté de conscience qui (nous) grandit

S’il est passionnant de vivre à l’ère d’un changement de paradigmes aussi important que ceux établis par la physique quantique, qui nous place face à nos réalités en créateur responsable, ce n’est pas toujours confortable pour autant. Ça l’est d’autant moins que notre environnement direct et les personnes qui nous entourent n’ont pas forcément revisité en même temps que nous leur carte du monde… Ce que nous vivons parfois comme une révolution intérieure et nous pousse à remettre les choses en question au regard de nos compréhensions nouvelles, ne trouve pas toujours d’écho dans nos contextes quotidiens. Aussi, le travail sur soi en groupe est une approche qui peut donner un beau souffle et permettre de mieux intégrer dans sa réalité ces compréhensions/transformations intérieures, tout en créant une communauté qui nous donne à être.

Au-delà de nos paysages relationnels habituels : nos familles, nos collègues et nos amis (dont ceux qui disent ne change surtout pas !), existent les personnes que l’on croise dans la vie de façon plus ponctuelle, ceux que l’on rencontre sur le chemin du développement personnel, du questionnement existentiel, de l’ouverture et de l’acceptation de soi, de la conscience, de la guérison, de la quête de la liberté d’être soi, … Ceux-là forment une famille plus large, libre, appelée par certains la famille d’âme ou celle des co-créateurs, Une trame, un maillage souple et invisible les relie comme autant de cellules d’un seul grand corps qu’ils participent en conscience à élever.
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